La République française vit une lente agonie, dissimulée derrière les artifices d’une démocratie en trompe-l’œil. Chaque décision, chaque réforme, chaque verrou administratif illustre la dérive autoritaire d’un système à bout de souffle. À l’approche de 2027, l’élection présidentielle semble presque anecdotique tant le pouvoir central s’est vidé de sa légitimité. Le régime ne négocie plus, il impose. Il ne débat plus, il neutralise.

Dans cette atmosphère délétère, l’arrivée imminente de l’euro numérique marque un tournant radical. Sous couvert d’innovation technologique, ce nouvel outil monétaire ouvre la voie à un contrôle sans précédent de la population. Fini l’anonymat du cash : place à une société de surveillance économique où chaque dépense devient une donnée exploitée, chaque achat une autorisation à obtenir. Ce n’est plus une anticipation dystopique, c’est un futur codé et déjà en phase de déploiement.

Mais le plus inquiétant reste peut-être le silence. La résignation d’un peuple qui ne croit plus en rien, pas même en sa propre capacité de révolte. Ce vide émotionnel est le terreau idéal pour l’émergence d’un régime froid, technocratique, désincarné. L’autoritarisme ne s’impose pas par la force : il s’installe dans l’indifférence.

Et si tout cela n’était que le début ?

Retrouvez Fabrice Di Vizio, Sylvain Baron, Antoine Gainot et Mike Borowski en direct sur Géopolitique Profonde.

Le libre-échange a longtemps été plus qu’un mécanisme économique : une croyance structurante, un dogme globaliste façonné par les élites pour organiser l’économie mondiale sous couvert de paix et de prospérité. Mais cette religion du marché s’effondre. Relocalisations, protectionnisme, souveraineté industrielle : les fondations vacillent. Ce n’est pas une simple transition économique, c’est la fin d’un ordre idéologique. Le doute s’installe, les certitudes se brisent, et avec elles, l’équilibre mondial.

Dans ce climat, chaque acteur anticipe l’échec du système et précipite sa chute. L’économie mondiale ne se dérègle pas par faiblesse technique, mais par mimétisme stratégique. Une logique de panique collective, théorisée par René Girard, alimente une montée aux extrêmes où le commerce ne contient plus les tensions, mais les attise.

Et sans le sacré qui canalisait la violence, ce qui émerge, c’est la brutalité nue. Le conflit économique sino-américain est le prélude d’un affrontement bien plus vaste, potentiellement militaire. Le libre-échange ne fait plus écran à la guerre : il la prépare. Ce que nous vivons n’est pas une crise économique. C’est la fin d’une croyance partagée. Et dans cette brèche idéologique, la guerre devient inévitable.

Mais si le libre-échange était une illusion… alors que reste-t-il vraiment derrière la façade ?
Nicolas Stoquer ne mâche pas ses mots, en direct sur Géopolitique Profonde.

Les États-Unis ne sont plus unis. Barack Obama entre de nouveau en scène, non plus en pacificateur, mais en stratège de l’affrontement. En appelant à la résistance contre Trump, il confirme que la guerre civile froide américaine est désormais chaude. Derrière les slogans démocratiques, une opération idéologique de grande ampleur cherche à verrouiller l’avenir politique du pays. Ce conflit dépasse les clivages partisans : c’est une lutte pour le contrôle du récit mondial.

Trump, quant à lui, avance à découvert. Entre réticence à intervenir en Ukraine et volonté de briser les schémas néoconservateurs, il incarne une rupture stratégique qui effraie autant qu’elle fascine. Son dilemme est clair : céder, c’est trahir sa base ; résister, c’est risquer l’isolement. Chaque décision est une mèche potentielle dans une poudrière déjà instable.

Et pendant ce temps, la France s’enlise. Incapable d’affirmer un cap souverain, elle subit la domination du système euro-atlantiste. Ce dernier, derrière ses masques de modernité et de droits humains, poursuit un projet destructeur des identités et des racines. Une mécanique froide, cynique, où l’homme n’est plus qu’un rouage. Mais le monde bouge, les lignes se fracturent, et certains peuples se lèvent.

Jusqu’où ira cette guerre invisible ? Les cartes sont en train d’être rebattues.

François Martin, Serge Ferderbusch, Nicolas Conquer, Alain Escada et Nicolas Stoquer vous attendent nombreux en direct sur Géopolitique Profonde.

Médecin infectiologue et hygiéniste reconnu, le Dr Stéphane Gayet a mené l’un des combats les plus courageux de ces dernières années contre la dictature sanitaire. Dès le début de la crise du Covid-19, il a refusé de se plier aux dogmes imposés par l’appareil d’État et ses relais médicaux. Il a défendu les traitements précoces, l’autonomie des médecins, la liberté thérapeutique, et il l’a payé cher.

Radié de l’Ordre des médecins en 2022, pris dans une campagne de délation orchestrée par ses propres confrères, il a été réduit au silence institutionnel, sans jamais renier ses convictions. À travers ses écrits, ses conférences, et son soutien aux soignants suspendus, Gayet a mis à nu les rouages d’une médecine soumise aux intérêts politiques et industriels. Il a dévoilé les coulisses d’un système où l’efficacité clinique passe au second plan derrière les impératifs idéologiques et les alliances opaques entre bureaucratie sanitaire et Big Pharma.

Mais le combat du Dr Gayet ne s’est pas limité au C0v*d. Il fut aussi un pionnier dans la reconnaissance de la maladie de Lyme chronique, là où l’appareil médical refusait d’écouter les patients abandonnés. Il a proposé des approches thérapeutiques innovantes, inspirées de pratiques internationales, et a défendu les malades contre l’indifférence des autorités médicales. Ce double engagement a fait de lui une cible à abattre.

Jusqu’à sa mort en février 2025, le Dr Gayet a continué de résister. Son décès n’est pas un simple fait divers médical : il incarne l’échec d’un système qui préfère broyer ses dissidents plutôt que d’entendre leurs alertes. Sa trajectoire rappelle une vérité essentielle : sans liberté de soigner, il n’y a plus de médecine. Et sans vérité scientifique, il ne reste qu’une propagande maquillée en protocole.

Le Le Pr. Christian Perronne et le Dr. Nicolas Meyer lui rendent hommage, en direct sur Géopolitique Profonde avec Mike Borowski.

Alors que l’attention médiatique vacille, une décision stratégique française vient bouleverser l’équilibre européen. Paris ne se contente plus d’un soutien symbolique à Kiev : les troupes françaises s’apprêtent à entrer en Ukraine dès l’officialisation d’un cessez-le-feu. Présence terrestre, aérienne, maritime et anti-aérienne, rien n’est laissé au hasard. Ce choix, validé sans réserve par l’état-major, confirme un basculement historique : la France devient acteur militaire direct d’un conflit aux portes de l’Europe.

Le message adressé à Moscou est sans détour : toute attaque contre les soldats français pourrait relever de la dissuasion nucléaire. Une doctrine volontairement floue, qui joue sur l’ambiguïté stratégique pour imposer une pression maximale. Désormais, la “dissuasion élargie” française ne se limite plus au territoire national. Elle s’exporte, s’ancre, se matérialise sur le théâtre ukrainien, avec tous les risques de collision que cela implique face à une Russie qui n’a jamais caché sa propre posture nucléaire.

Cette escalade ne se fait pas en solitaire. Le Royaume-Uni marche aux côtés de la France dans la création d’une “coalition de volontaires”, prête à occuper militairement certaines zones clés. Hors cadre OTAN, mais coordonnée à l’échelle occidentale, cette force de réassurance s’impose comme la nouvelle architecture de guerre européenne. Les casernements se préparent, les itinéraires sont balisés. Et au cœur de cette machine de guerre réinventée : l’armée française, plus exposée que jamais.

Le parapluie nucléaire de Macron est-il devenu un piège stratégique tendu à l’Europe ? Nicolas Stoquer déplie cette réalité sous tension avec des révélations glaçantes, en direct sur Géopolitique Profonde !

L’empire américain ne se contente plus d’exercer une influence : il dirige. L’Europe, devenue une simple extension géopolitique de Washington, applique aveuglément des choix stratégiques qui la précipitent dans le chaos. OTAN, sanctions, soumission économique : l’Union européenne n’est plus qu’un relais docile d’un pouvoir qui ne cherche plus la paix, mais l’affrontement global.

Ce n’est pas une alliance, c’est une reddition. Les élites européennes ont abdiqué toute souveraineté. À Bruxelles comme à Paris, les décisions se prennent sous pression, dans un climat de chantage permanent. Financier, médiatique, énergétique, militaire : chaque levier est activé pour maintenir l’Europe dans une dépendance totale, jusqu’à l’effondrement économique.

L’exemple français est sans appel. Désindustrialisation accélérée, destruction des services publics, attaques contre les classes moyennes et mise sous tutelle technocratique : la France n’a plus rien d’un État souverain. Elle est gérée comme une entité commerciale en liquidation. Son président, exécutant zélé du programme globaliste, pousse le pays dans toutes les guerres idéologiques de l’empire : climat, Ukraine, surveillance numérique, identités dissolues.

Sur la scène internationale, c’est le chacun pour soi. La guerre commerciale est déclarée. Trump a ouvert la voie au protectionnisme brutal, pendant que l’Europe continue de réciter ses dogmes suicidaires : libre-échange, croissance verte, multiculturalisme intégral. Le modèle globaliste s’effondre, mais ses architectes refusent d’en tirer les leçons. Le résultat : chômage, inflation, migration de masse, tensions sociales explosives. Et surtout, la fin de toute stabilité.

Le monde entre dans une ère de confrontation permanente. Plus de diplomatie, plus d’équilibre, plus de respect. Juste des rapports de force, des prédations, des effondrements. L’Europe n’est plus un acteur, elle est une cible. Et le plus inquiétant, c’est que personne, dans les sphères du pouvoir, ne semble vouloir l’éviter.

Personne, sauf peut-être ceux qui osent encore penser autrement. Claude Janvier, Jean-Loup Izambert, Tom Benoit et Philippe Noziere vous dévoilent les véritables enjeux, là où les médias officiels détournent le regard, en direct dans La Matinale de Géopolitique Profonde avec Nicolas Stoquer !

L’Europe traverse une crise existentielle majeure, coincée entre une Union européenne autoritaire et un empire américain prêt à tout pour maintenir son hégémonie. Derrière la façade des « valeurs démocratiques », c’est une guerre de survie qui se joue : Washington impose son tempo, Bruxelles exécute, et les peuples paient l’addition. Guerre en Ukraine, sanctions suicidaires, endettement massif, répression des oppositions : chaque élément participe à une stratégie globale de vassalisation.

Trump a tracé la voie d’un néo-protectionnisme. L’objectif : déstabiliser l’économie des oligarchies occidentales, notamment européennes, pour prolonger la domination du dollar. L’OTAN redevient l’instrument militaire de cette guerre invisible, pendant que l’UE criminalise toute contestation interne pour éviter son éclatement.

Mais le réveil gronde. En Allemagne, en France, en Italie, les peuples refusent de mourir pour les délires impériaux de Kiev ou les diktats de Bruxelles. La résistance s’organise face à une Union européenne qui choisit la guerre pour éviter la désintégration. Ce choc, déjà engagé, ne peut que s’intensifier.

Et si la vraie guerre ne se jouait pas là où on croit ?
Alain Soral expose son point de vue en direct sur Géopolitique Profonde.