Deux mondes, deux vérités, une seule fracture béante. Au cœur de Paris, dans l’un des bastions les plus sûrs du macronisme bourgeois, une rumeur jugée obscène provoque un rejet viscéral. Pour les femmes de la haute, Brigitte Macron incarne l’idéal féminin selon les codes d’une classe dominante en voie de radicalisation culturelle. Posture, langage, élégance : tout devient totem d’une identité de caste. Là, le doute est une injure, et la rumeur, un blasphème.

À quelques rues de là, c’est un autre Paris. Celui des employées, des mères de famille, des femmes de l’ombre. Pour elles, le doute n’existe pas. Brigitte Macron n’est pas une femme, point. Ce n’est pas un débat, c’est une conviction. Leur vérité est intuitive, presque sensorielle. Le corps ne triche pas, disent-elles. Elles parlent avec les tripes, contre les institutions, contre les récits officiels. Là, la rumeur devient un cri de défiance, un code de reconnaissance dans une société où elles ne croient plus à rien.

Entre ces deux blocs, la fracture n’est plus seulement sociale : elle est perceptive, presque anthropologique. Ce que l’affaire Brigitte Macron révèle, c’est la fin d’un langage commun. Les élites parlent encore de réalité. Le peuple, lui, parle de ressentis. Et c’est cette guerre des perceptions, cette dissociation radicale entre narration dominante et vérité vécue, qui est en train de bouleverser le cœur même du pouvoir.

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Reportage réalisé par Farid Dms Debah

Le Rassemblement National traverse une zone de turbulences majeure. Après la condamnation de Marine Le Pen à cinq ans d’inéligibilité, le parti tente une riposte politique fébrile, entre indignation médiatique et posture victimaire. Mais le choc attendu n’a pas eu lieu : la mobilisation populaire reste marginale, les rues sont vides, et la base militante semble désorientée. Ce vide révèle un malaise profond, bien au-delà du cas Le Pen.

Le RN n’incarne plus la colère populaire. Là où il promettait une alternative radicale, il se montre aujourd’hui comme un acteur docile du jeu parlementaire. Votes favorables aux mesures gouvernementales, silence sur les dérives financières, intégration progressive dans le paysage institutionnel : le parti ne s’oppose plus, il s’adapte. Cette normalisation discrète mais implacable questionne la nature réelle du RN. Est-il encore un mouvement de rupture, ou a-t-il basculé du côté des gestionnaires du statu quo ?

La réaction des militants eux-mêmes en dit long. Loin de la ferveur d’autrefois, on observe une résignation croissante, une perte d’enthousiasme, une défiance silencieuse. Le mythe d’un parti « antisystème » vole en éclats. Derrière les discours enflammés, la réalité est celle d’un appareil devenu compatible avec les rouages du pouvoir. Le RN ne dérange plus. Il rassure. Et c’est précisément là que le doute s’installe.

Ce nouvel épisode judiciaire agit comme un révélateur : Marine Le Pen ne fait plus peur au système, car elle ne le menace plus réellement. Ce qui devait faire tomber la République ne fait finalement que renforcer ses codes. La question n’est plus de savoir si le RN peut gagner, mais ce qu’il ferait s’il gagnait.

Et si la véritable opposition était ailleurs ? Celle qu’on ne voit pas, celle qui ne défile pas, mais qui observe en silence la comédie parlementaire.

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Reportage réalisé par Farid Dms Debah

La peur d’un soulèvement militaire est bien réelle. Loin d’être une fiction, elle façonne désormais les réactions d’un pouvoir en panique. L’armée française, dernier bastion d’une fidélité à la nation, subit aujourd’hui une pression inédite. Officiers sanctionnés, procédures disciplinaires abusives, justice instrumentalisée : tout est mis en œuvre pour faire taire ceux qui osent dénoncer l’effondrement des institutions républicaines.

Le général Coustou, malgré sa relaxe judiciaire, fait face à une nouvelle offensive disciplinaire lancée par le ministre des Armées, preuve que la décision judiciaire ne suffit plus à éteindre la volonté répressive du pouvoir. Ce n’est plus la loi qui guide les décisions, mais une stratégie politique de contrôle total. Le gouvernement ne supporte plus aucune voix divergente, surtout lorsqu’elle vient de l’intérieur de l’appareil d’État.

L’affaire va plus loin. L’avocat François Dangléhant attaque la ministre des Armées pour dénonciation calomnieuse et usurpation de titre. Il engage aussi des recours auprès de la Cour européenne des droits de l’homme pour défendre des figures comme Natacha Rey, persécutée pour ses enquêtes. Ces actions ne sont pas marginales. Elles exposent une mécanique de pouvoir fondée sur la persécution des dissidents et la dissimulation de la vérité.

En France, la séparation des pouvoirs est devenue un mythe. La justice agit désormais comme le bras armé du régime, prêt à écraser quiconque remet en cause le narratif officiel. Militaires, avocats, journalistes indépendants : tous subissent une répression silencieuse mais déterminée. Une logique de guerre intérieure se met en place, où la moindre critique est traitée comme une menace à abattre.

C’est dans ce contexte explosif qu’émerge une obsession : empêcher à tout prix un réveil de l’armée. Le spectre d’un coup d’État en 2025 n’est plus une spéculation marginale, c’est une peur tangible pour ceux qui tiennent le pouvoir. La stratégie est simple : museler préventivement toute voix militaire qui pourrait rallier le peuple.

Ce verrouillage du débat public, cette criminalisation de l’expression libre et cette censure institutionnelle dessinent une trajectoire claire : celle d’une France qui bascule dans une gouvernance autoritaire. Et face à ce virage, seuls l’analyse lucide et l’accès à une information non contrôlée permettent encore de résister.

Quand le pouvoir a plus peur de ses généraux que de ses ennemis extérieurs, il faut écouter ce que dit Maître François Danglehant, Sylvain Baron et Christian Cotten à Mike Borowski, sur GPTV.

Quand Ursula von der Leyen déclare que « l’Europe, ce sont les valeurs du Talmud », elle ne se contente pas d’une provocation : elle opère un basculement idéologique majeur. Ce discours prononcé en Israël à l’université Ben Gourion n’a rien de banal. Il révèle la stratégie assumée d’un effacement des racines historiques et spirituelles de l’Europe au profit d’une vision exogène, contraire à son identité.

Loin du cadre diplomatique, la présidente de la Commission européenne engage tout le continent dans un révisionnisme institutionnel. Non, l’Europe ne repose ni sur le Talmud, ni sur une tradition rabbinique. Elle est le fruit d’une alliance millénaire entre la philosophie grecque, le droit romain et la foi chrétienne. Tenter d’imposer une autre matrice civilisationnelle, c’est nier l’essence même de ce qui a forgé notre culture.

Pire encore, von der Leyen encense David Ben Gourion, en passant sous silence les conséquences concrètes de son œuvre : l’épuration ethnique de la population palestinienne en 1948, reconnue par les historiens israéliens eux-mêmes. En glorifiant cette figure, sans jamais évoquer la Nakba, ni les droits du peuple palestinien, elle donne un blanc-seing à une entreprise coloniale toujours en cours.

Ce silence complice sur l’histoire réelle du Proche-Orient révèle une Europe alignée sur des intérêts qui ne sont pas les siens. L’Union européenne se transforme en instrument idéologique au service d’une morale imposée, d’une mémoire sélective et d’un ordre mondial déconnecté des peuples européens.

Et si cette déclaration n’était que la partie émergée d’un programme plus vaste de déracinement spirituel, de soumission politique et de trahison civilisationnelle ?

Nicolas Stoquer pose les questions interdites en direct sur Géopolitique Profonde !

L’Occident s’effondre, et la France n’est plus que l’ombre d’elle-même. Cet effondrement ne tient pas d’un fantasme apocalyptique mais d’une réalité froide : désintégration économique, déliquescence politique, anesthésie sociale. L’élite française, fausse, déconnectée et stérile, a trahi. Mais le peuple, lui aussi, a déserté : aucune remise en question, aucune volonté de résistance, aucune conscience du rôle historique qui fut autrefois le sien.

Ce peuple qui instruisait le monde s’accroche désormais à ses illusions et à ses privilèges périmés. La France s’enfonce dans la décadence, la stagnation et la peur. L’innovation est morte, la révolte est éteinte, l’esprit de grandeur a été remplacé par la gestion du déclin. Le poisson pourrit par la tête, mais le corps aussi refuse de bouger.

Sur l’échiquier global, l’Europe n’existe plus. Elle a abandonné toute souveraineté pour suivre aveuglément un Empire américain qui se fissure de toutes parts. Ukraine, Proche-Orient, inflation, crise énergétique : à chaque carrefour, les décisions européennes s’alignent sur Washington, au détriment de ses propres peuples. Cette servilité n’est plus stratégique, elle est suicidaire.

Pendant ce temps, l’Amérique elle-même vacille. Le dollar perd son statut de référence, les alliés se rebellent, les BRICS avancent. Ni Biden ni Trump ne peuvent enrayer le processus. Ce n’est plus une crise de leadership : c’est une fin de cycle. Le monde unipolaire touche à sa fin, et l’Occident, qui refuse de le voir, s’enfonce dans le vide.

Ce déclin n’est ni inéluctable ni abstrait : il est vécu, visible, mesurable. Mais qui, aujourd’hui, ose encore l’affronter lucidement ? Qui ose dire que l’Empire touche à sa fin et que la France n’est plus qu’un rouage rouillé de sa mécanique moribonde ?

La fin de l’empire n’est pas un film, c’est notre réalité. Finn Andreen, Nicolas Vidal, Philippe Herlin et le Général Dominique Delawarde analysent en direct cette situation explosive, dans La Matinale de GPTV avec Nicolas Stoquer !

Quel est le vrai prix d’une vie décente en France en 2025 ? Oubliez le SMIC, les aides sociales et les discours déconnectés : les Français parlent cash. Pour eux, vivre correctement, c’est disposer d’au moins 3000 euros par mois. Pas pour voyager ou s’acheter des gadgets. Juste pour couvrir un loyer, des courses, les déplacements, et affronter les imprévus sans angoisse. En dessous de ce seuil, ce n’est plus une existence, c’est une survie sous tension permanente.

À travers une série de témoignages bruts, ce micro-trottoir dresse le portrait d’un pays au bord de la rupture. Étudiants contraints de manger aux Restos du cœur, familles obligées de choisir entre essence et chauffage, travailleurs qui ne s’en sortent plus malgré deux salaires. Tous disent la même chose : la dignité n’est plus accessible. La fracture sociale se creuse et prend racine dans un sentiment profond d’abandon.

Le fossé entre le peuple et ses dirigeants devient abyssal. Pendant que des milliards sont envoyés à l’étranger, ici, en France, des mères menacent de se suicider pour obtenir un logement social. Les jeunes, eux, n’ont plus d’illusions. Ils parlent de leur avenir comme d’une impasse. Et certains dénoncent même l’ingérence de l’État dans l’éducation, comme un aveu d’échec sur les priorités essentielles.

Cette enquête révèle une France qu’on ne veut plus montrer : celle qui bosse, qui galère, qui s’épuise, et qui n’attend plus rien du système. Une France lucide, en colère, déterminée à reprendre la parole. Et à briser le récit officiel d’une économie « en bonne santé ».

Alors, jusqu’où faudra-t-il tomber pour que le pouvoir écoute enfin ?

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