Voilà ce qu’il se passe quand on laisse l’inflation en roue libre dans un pays.
Un pays qui n’est pas un pays du tiers monde !
Nous parlons du Royaume-Uni où la moitié des ménages sautent des repas face à la flambée des coûts
« La moitié des ménages britanniques réduisent le nombre de leurs repas , écrit Which ? , selon les résultats d’un sondage mené auprès de près de 3 000 personnes. Une proportion similaire dit trouver difficile de manger sainement comparé à avant la crise, et opte pour des plats déjà cuisinés pour réduire leur utilisation du gaz ou de l’électricité.
Quatre-vingts pour cent des personnes interrogées disent éprouver des difficultés financières. Beaucoup se privent dorénavant de toutes gourmandises pour n’acheter que l’essentiel.
Crainte sur l’énergie.
L’association britannique de défense des consommateurs avait déjà averti mercredi que des millions de ménages britanniques risquaient aussi de se retrouver dans la pauvreté énergétique et donc ne de ne pouvoir se chauffer adéquatement cet hiver, après que le nouveau ministre des Finances a considérablement raccourci la durée d’un plafonnement des factures énergétiques ».
La guerre en Ukraine ne met pas l’économie russe à genou. C’est faux. Non pas que tout aille bien en Russie, mais la Russie croule sous l’énergie abondante, donc forcément cela va mieux.
Chez nous en revanche, nous croulons sous les manques et l’absence d’énergie abondante et bon marché dérègle toutes nos économies si optimisées, si développées, si raffinées !
C’est donc pour nous la catastrophe. C’était prévisible.
Mais pas prévu en haut lieu. Souvenez-vous de notre aimable vedette de Bercy qui nous expliquait que nous allions mettre l’économie russe par terre.
Charles SANNAT
Source Media Services via Boursorama.com ici
