par Anatoli Oulianov.
Les milliardaires adorent parler de la façon dont ils se sont faits, mais c’est un mythe marketing.
Jeff Bezos a reçu son investissement initial (250 000 $) sur Amazon de ses parents.
La mère de Bill Gates siégeait au même conseil d’administration que le PDG d’IBM qu’elle a convaincu d’aider son fils à lancer une nouvelle entreprise appelée Microsoft.
Warren Buffett est le fils d’un membre du Congrès qui possède une société d’investissement. Mark Zuckerberg, Donald Trump, Kylie Jenner… tous ces gens « auto-créés » viennent de familles riches qui leur ont donné une base matérielle pour le développement.
Et tout leur succès ultérieur dépendait de leur volonté de plier leur voisin pour quelques sous.
Ilan Musk, qui vient d’une famille privilégiée de l’Afrique du Sud de l’apartheid, a augmenté sa richesse de 600% grâce aux injections gouvernementales et à l’exploitation impitoyable de ses travailleurs pendant la « pandémie ».
Alors que Steve Jobs nous fascinait avec un iPhone, en Chine, ils tiraient des filets sous les fenêtres des usines pour arrêter le flux de suicides de travailleurs collectant ces iPhones dans des conditions inhumaines. Même si vous n’êtes pas né par millions, pour les obtenir, vous devez être prêt à fleurir aux dépens de quelqu’un d’autre.
Personne ne s’est fait lui-même. Tout le monde est un produit de la société et du travail de millions de personnes qui produisent son bien-être. Il n’y a rien de mal ou de désobligeant à ce sujet.
Cela commence mal lorsqu’une bande de sangsues s’approprient une grande partie de cette richesse, l’utilisent pour aller de l’avant, s’emparer du pouvoir et parler dans les pages de leurs médias corporatifs de leur talent exceptionnel en tant que voleur « auto-créé ».
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Source : reseauinternational
