La revue de presse en temps réel

Les SPAC, nouvelles stars boursières de 2021

🟡 NOS SOLUTIONS 🟡

Planetes360
Planetes360
Planetes360 est un site d'information qui s'est fixé pour objectif de mettre en lumière les informations laissées dans l'ombre par les grands médias. Notre plateforme collaborative ne met en valeur aucune tendance, personnalité, ou parti politique.

Bien aidé par l’abondance de liquidités déversées par les banques centrales, l’engouement pour les SPAC atteint des proportions impressionnantes de part et d’autre de l’Atlantique. Les chiffres interpellent et rien ne dit que le soufflé retombera…

Avec les cryptomonnaies, le bitcoin en tête, mais aussi d’autres « jetons » qui ont explosé les compteurs en quelques semaines, voire quelques jours, sans que rien ne le laissait présager, les SPAC (Special Purpose Acquisition Company) sont incontestablement les chouchoutes des investisseurs depuis le début du premier trimestre.

Toutes les semaines, des dizaines d’entre elles font leur apparition à Wall Street. Il s’agit certes d’autant de coquilles vides, ces sociétés n’ayant aucune activité opérationnelle, mais elles ont tout de même levé plus de 120 Mds$ sur les marchés entre le 1er janvier et le 15 mars, plus que sur les dix dernières années.
[Le 2 avril 2021, nous allons retrouver l’expert #1 de ce marché dans un lieu privé afin d’en révéler ses secrets … ainsi que les trois meilleures opportunités sur lesquelles se positionner au plus vite. Pour réserver votre place pour cet événement historique, cliquez ici.]

Des noms prestigieux

L’Europe n’est pas en reste et de nombreux noms illustres de la finance ont déjà sauté le pas… emboîtant également celui de Xavier Niel, le fondateur d’Iliad, la maison-mère de Free, pionnier en la matière dans l’Hexagone avec Mediawan dans l’audiovisuel et 2MX Organic dans le secteur de la distribution. Flanqué de sa famille, Bernard Arnault, PDG de LVMH, va ainsi s’associer – à travers le holding Financière Agache – à un nouveau SPAC lancé par Tikehau Capital SCA et dédié aux services financiers (fintechs). Bien décidé à participer lui aussi à la fête, l’ex-patron de Commerzbank Martin Blessing entend quant à lui lever quelque 400 M€ via un SPAC qui sera coté à la Bourse d’Amsterdam.

L’accumulation de patronymes ronflants renforce la crédibilité de ces entreprises apparues plutôt discrètement aux Etats-Unis dans les années 1980, et dont les titres sont émis en Bourse pour une durée déterminée dans l’optique de réaliser une voire plusieurs rachats dans un secteur défini.

Par leur biais, des investisseurs chevronnés bénéficient de la possibilité de faire appel à d’autres bailleurs de fonds en leur proposant d’investir au capital, avec en filigrane la promesse de déployer les fonds dans des acquisitions qui se veulent créatrices de valeur. Dès lors, l’attrait que suscitent les SPAC d’un bout à l’autre de la chaîne financière se comprend mieux, d’autant que selon une étude menée par le cabinet d’études McKinsey, dont le sérieux ne saurait être remis en cause, 90% des opérations réalisées l’an passé se sont soldées par un succès, alors même que le taux d’échec était encore supérieur à 20% avant 2015.

Mieux qu’une IPO ?

Ayant longtemps suscité la défiance, souvent jugées trop risquées, ces sociétés ont un autre avantage de poids en ce sens qu’elles constituent un moyen plus rapide de lever des fonds que les introductions en Bourse traditionnelles. Ces dernières requièrent en effet une préparation et une énergie considérables pour tenter de convaincre les investisseurs, nécessitent un examen de résultats financiers potentiellement éliminatoire et peuvent donner lieu à de sérieuses déconvenues, en particulier dans les rangs des petites capitalisations et des jeunes pousses.

« Seule promesse: utiliser les fonds levés pour acquérir en retour une entreprise non cotée. Une fois l’opération bouclée, la SPAC prend le nom de la société acquise, laquelle met la main sur les fonds levés, et le tour est joué », décodent nos confrères de BFM Bourse, qui soulignent également, avec raison, que la réussite de ces entreprises « dépend essentiellement de la réputation des personnes en charge de l’opération ».
[Eric Lewin, analyste financier depuis 30 ans, confident des PDGs, est le spécialiste maison de BFM sur le marché des SPACs. Pour assister à sa conférence exclusive et gratuite le vendredi 2 avril à 17h, réservez votre place en cliquant ici.]

Une réalité que MM. Arnault et Niel ont parfaitement assimilée et que d’autres commencent à comprendre, y compris des investisseurs néophytes.

Pour autant, malgré l’euphorie ambiante, gardons tout de même en tête que les SPAC ne seront pas toutes logées à la même enseigne. En conséquence, certains qui auraient misé sur le mauvais cheval pourraient perdre très gros.

Aux Publications Agora France, l’expert Eric Lewin le sait : ces sociétés ne sont pas plus synonymes de réussite systématique qu’un autre placement et certaines présentent plus de garanties que d’autres. Il entend donc mettre un point d’honneur à faire une sélection rigoureuse dans le cadre de sa conférence privée.
Le 2 avril 2021, vous êtes invité(e)…

Une conférence privée depuis Courchevel, en présence d’Éric Lewin

“Comment profiter de la folie des SPACs en 2021” 

Cet évènement est GRATUIT pour nos lecteurs, mais les places sont limitées – saisissez la vôtre au plus vite en cliquant ici !

A LA UNE

1 COMMENTAIRE

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici

Accès illimité à des livres gratuits - Cliquez pour en profiter !

🔥 LES PLUS POPULAIRES

Votre santé les intéresse ! Comment ce guide vous aide à lutter contre Big Pharma.

X