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La ville de Paris bientôt sous tutelle pour éviter la faillite.

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En 2001 la ville de Paris n’avait aucune dette.

Aucune.

La ville était gérée par la droite.

Non pas que la droite gère toujours bien, mais à Paris, les comptes étaient bien tenus.

De l’arrivée de Bertrand Delanoë à Hidalgo cela a été la grande gabegie et le délire dépensier dans les services de la ville de Paris, avec non seulement des dépenses largement financées mais en plus la création de presque 10 milliards d’euros de dettes.

A ce niveau, c’est du grand art.

Les finances de la ville de Paris étaient impossibles à « planter », et pourtant Hidalgo a réussi l’impossible.

L’imposible et aussi l’impensable.

Non seulement la ville est en quasi-faillite et mériterait effectivement d’être mise sous tutelle, mais en plus, la vie quotidienne s’y dégrade considérablement année après année.

Travaux aberrants, délinquance, drogue, violence…

Un « succès » digne des meilleures « réussites » des villes « woke » aux Etats-Unis, car c’est en réalité, disons-le, bien de cette dérive dont il est sujet.

Le wokisme social, le wokisme également budgétaire, le wokisme détruit tout ce qu’il touche. Tout.

Ce n’est pas du progressisme mais du destructivisme.

Et puis à Paris, on en a recruté du monde. Beaucoup du monde. Il serait intéressant que la Cour des Comptes se penche sur la réalité des postes occupés et du temps travaillé réel…

Ci-dessous graphique source IFRAP ici.

C’est dans ce contexte qu’interrogé à ce sujet dans le Grand rendez-vous sur Europe 1 et CNews, Clément Beaune a estimé que « la situation financière est grave et n’est pas liée au Covid, contrairement à ce que dit Anne Hidalgo ». Le scénario d’une mise sous tutelle n’est donc «pas exclu», a poursuivi le ministre des Transports. « Pour la capitale, c’est gravissime et je ne le souhaite pas, ce serait un ultime recours », a-t-il ajouté en invitant la maire de Paris à « prendre ses responsabilités ».

Etre élu quel que soit le niveau, n’est pas un permis de faire n’importe quoi, de décider n’importe quoi ou de dépenser n’importe comment.

Quand on est élu, on doit au contraire être comptable aussi bien des deniers dépensés que des projets que l’on souhaite porter.

Presque tous les « zélus » parlent de démocratie directe, mais peu l’applique réellement, et surtout, les dérives autoritaires d’élus locaux trop peu « sanctionnables » s’accumulent poussant les finances locales vers les abimes de la dette, des dettes, que les pauvres citoyens que nous sommes doivent bien payer.

Les nations comme les communes sont vendues par les riches et toujours sauvées par les gueux que nous sommes.

Pauvres de nous.

Charles SANNAT

Source Le Figaro.fr ici

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