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Entreprise, pour éviter la faillite il fait travailler ses salariées la nuit pour avoir le tarif heures creuses

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A Lorient en Bretagne on fait des crêpes et des bien bonnes !

On peut aller directement à la crêperie Lohéac pour en acheter à manger tout de suite ou bien emballées pour déguster un peu ou beaucoup plus tard !

Mais pour faire tourner les Billigs (les appareils pour faire les galettes en breton) il faut chauffer fort et donc tout cela nécessite beaucoup d’électricité.

Le problème c’est que vu que notre grand phare du Palais ne veut toujours pas régler le problème posé par ces règles européennes absurdes, Xavier Lohéac le patron, est obligé de faire travailler ses crêpières la nuit pour pouvoir bénéficier du tarif heures creuses.

« C’est la seule solution qu’a trouvée son patron, Xavier Lohéac, pour éviter que sa facture d’électricité ne le pousse à éteindre définitivement ses manèges à crêpes » selon Ouest-France et je veux bien le croire.

Vous noterez que les crêpières travaillent de nuit sans sourciller parce qu’il faut bien faire bouillir la marmite et sauver l’entreprise qui permet à toutes ces familles de vivre.

Vous voyez il y a deux capitalismes.

Le capitalisme à papa dont je me revendique. Celui de l’effort, du travail et de la responsabilité sociale qui n’a pas besoin de RSE parce que tous les petits patrons dans nos provinces savent qu’ils ont charge d’âmes et que ce qu’ils font compte dans leur communauté, dans leur village, dans leur petite ville. Les gens se connaissent. Alors on le fait. Parce que cela doit être fait.

Et puis il y a le capitalisme mondialisé, polluant, sans âme, sans morale en recherche de puissance et de domination. Le capitalisme de la prédation.

Capitalisme contre capitalisme.

Au capitalisme de la prédation économique, environnementale, sociale et morale et même spirituelle, j’oppose le capitalisme de la création, du travail, de la morale, en prise directe avec son environnement et ses gens. Contre le capitalisme des grandes multinationales ils faut opposer le capitalisme des TPE et des PME.

Ce n’est pas pour rien, que les plus grands capitalistes, les Américains, avaient rédigé les premières lois anti-trust.

Qu’il soit rendu hommage à ces crêpières qui sauvent l’entreprise avec leur patron et pas contre.

C’est ensemble que l’on va plus loin.

Il faut sauver les crêpes, même celles de nos amis Bretons, car comme chacun sait, en bon normand, le Mont-Saint-Michel est en Normandie et moi, j’adore les crêpes et mes crêpes parties avec ma crêpière Fagor à 8 (achetée chez Carrefour Market l’année dernière à 29 euros en solde) !!

Charles SANNAT

Source Ouest France ici

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