https://twitter.com/faubourgsebast1/status/1284036195610243073
…
A Bercy, on a préféré l’option du cantonnement. Une manière de repousser le paiement à plus tard et d’étaler les remboursements, quitte à payer plus cher. « Comme pour un crédit immobilier, un différé d’amortissement et une maturité plus longue se payent, reconnaît Laurent Saint-Martin. Mais avec les niveaux d’intérêt actuel, cela reste intéressant. » Les 250 milliards d’euros de coût de la crise seront donc étalés sur vingt ans.
…
L’intégralité de l’article disponible sur l’Opinion