Depuis plusieurs mois, l’Algérie multiplie les provocations, repousse les limites des accords bilatéraux et humilie la France sur la scène internationale. Refus de réadmettre ses ressortissants expulsés, maintien d’accords désuets de 1968 et provocations verbales incessantes : Alger impose ses règles, tandis que Paris reste paralysée par une inaction incompréhensible.
L’affaire Boualem Sansal, écrivain franco-algérien retenu arbitrairement en Algérie, incarne cette incapacité de la France à défendre ses citoyens. Plus troublant encore, le silence d’Emmanuel Macron face à cette escalade soulève des interrogations. Pourquoi un tel mutisme ? Une hypothèse glaçante émerge : un chantage exercé par Alger autour de l’affaire Brigitte/Jean-Michel Trogneux.
Des rumeurs persistantes évoquent qu’Alger détiendrait des informations compromettantes sur cette affaire sensible. Exploiter les failles personnelles d’un dirigeant pour exercer une pression politique n’est pas nouveau, mais si cette hypothèse se confirme, elle expliquerait la posture de soumission de Paris face à une Algérie conquérante.
Pendant ce temps, les accords de 1968 continuent de bénéficier à Alger, offrant des avantages disproportionnés aux Algériens en France, tandis que Paris refuse toute remise en question. Cette situation révèle une France affaiblie, incapable de défendre ses intérêts et abandonnant toute autorité face à un partenaire stratégique devenu hostile.
L’Algérie s’impose désormais comme une puissance régionale audacieuse, capable de défier sans crainte son ancien colonisateur. Comment ce basculement s’est-il produit ? Quelles sont les implications de cette domination algérienne sur la géopolitique régionale et sur l’avenir de la France ?
Mike Borowski décrypte cette situation en direct sur Géopolitique Profonde.