Le fisc réclamerait 2,2 milliards d’euros à la banque. L’administration estime que celle-ci n’avait pas droit à un avantage fiscal lié aux pertes de son ancien tradeur.
C’était le 24 janvier 2008. Alors PDG de la Société générale, Daniel Bouton, mal à l’aise, dévoilait au monde entier une gigantesque perte sur les marchés financiers. L’affaire Jérôme Kerviel était lancée. Presque dix ans plus tard, le dossier du « rogue tradeur » de la Société générale n’est toujours pas clos. Il vient même de rebondir. Selon le journal satirique le Canard enchaîné paru ce mercredi matin, la banque de La Défense (Hauts-de-Seine) a reçu, en lien avec cette histoire, un redressement fiscal record de 2,2 milliards d’euros. Soit, à titre de comparaison, deux fois plus que ce qui était réclamé dans le très emblématique dossier Google !
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