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5 preuves de l’arrivé de la crise économique 2019

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Crise économique imminente :

Ce n’est plus qu’une question de temps avant que les carottes ne soient cuites. Après le « Krach boursier de 2018 » on ne devrait s’attendre qu’à la « crise financière 2019 ». Les indices d’une crise économique en 2019 sont tellement visibles que tous les économistes s’accordent à dire qu’elle est pratiquement inévitable.

Cette crise sera probablement plus dévastatrice que celle de printemps en 2008. C’est pourquoi George Nurdin, ex-directeur d’une grande école de Management et écrivain déclare, en parlant de la crise économique en 2019 que « plus proche du typhon dévastateur que de l’averse passagère de printemps ». L’expert estime qu’elle risque d’être « à la fois économique, financière et sociétale avec une indifférence de l’ordre d’occurrence des facteurs ».

Au-delà de toutes les alertes ressenties depuis un certain temps, des éléments très probants permettent de prédire avec certitude une crise économique 2019.

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  • Absence de croissance

La croissance économique est l’augmentation soutenue durant une ou plusieurs périodes longues d’un indicateur de dimension : pour une nation, le produit global brut ou net, en terme réel. La croissance est mesurée à partir du taux de croissance sur une période donné.

Par exemple, si le PIB d’un pays était de 1 500 milliards d’euros le 1er janvier 2017, et de 1 550 milliards d’euros le 1er janvier 2018, le taux de croissance de ce pays en 2017-2018 a été de 3,33 sur l’année 2017-2018.

La croissance est donc un phénomène quantitatif que l’on peut mesurer et on rétien généralement le produit intérieur brut (PIB) comme agrégat pour mesurer les quantités produites. C’est pour quoi, au sens large du terme on oppose la crise à la croissance. C’est d’ailleurs pour quoi on défini parfois la crise économique comme étant le retournement de l’activité économique qui passe d’une croissance forte à une croissance fortement ralentie voir à une baisse de l’activité économique.  Un simple ralentissement de l’activité économique est parfois qualifié de « crise » est ceci, dans la mesure où il aurait des conséquences négatives pour les travailleurs sur le marché du travail.

Qu’est ce qui rend si fort l’impact de la croissance économique sur une éventuelle crise économique 2019 ?

Cela découle du fait que les entreprises, le secteur bancaire et financier, les marchés, l’industrie des biens de consommation, l’aide sociale et les individus sont réglés sur l’hypothèse d’une croissance constante. Et pour stimuler celle-ci, un large éventail de politiques, incluant les systèmes fiscaux, a été conçu. Cependant, ces institutions et ces politiques  ont été façonnés à une époque soutenue et de croyance en sa perpétuité. Ainsi, il suffit que la croissance marque le pas, voir tende vers zéro, pour qu’elles plongent dans une crise existentielle débouchant sur l’instabilité politique et sociale.

La croissance économique à significativement baissé au cours des années. Par exemple elle était de 6% par an en 1960 contre +ou – 1% par an aujourd’hui.

  • Les taux d’intérêts sont bas (<à 2%)

La crise des subprimes en 2008 était sensée pénaliser les surendettements et nous faire revenir à une logique de « mettre de coté » avant d’acheter. Cependant, 8 ans après, il n’en est rien. De plus on est passé par d’autres périodes critiques comme : la crise de la dette en Europe et le Brexit. Dans les économies développés aujourd’hui, les taux son nuls (les 19 pays membres de la zone euro et le Japon) ou à défaut très proches de zéro (Etats Unis, Israël et Danemark), ou alors négatifs (Suisse, et Suède).

Il est indéniable que les taux bas représentent une opportunité dans une certaine mesure. En effet, les crédits immobiliers n’ont jamais été aussi bon marchés (environ 1,5% en moyenne) et les rachats de crédits font fureur, favorisant le pouvoir d’achat des ménages et les capacités d’investissement des entreprises. Mais d’un autre coté, les placements ne rapportent quasiment plus rien. Désormais, il ne sert pratiquement plus à rien de mettre de l’argent de coté cela ne rapporte pas. Au contraire, prendre un crédit n’a jamais été aussi peu cher. L’argent ne vaut plus rien.

Les banques sont plutôt en difficulté : leurs marges s’effritent. En Europe, elles ont d’ores et déjà mené des actions de réductions des couts, via des suppressions de postes ou des économies d’échelle, et d’augmentation des frais, de tenue de compte par exemple.

Les banques sont contraintes de chercher des relais de croissances toujours plus diversifiés pour pouvoir rester dans la course, et pour pouvoir rester rentable. En effet, les banques qui s’en sortent le mieux ont pu consolider leurs fonds propres et affichent des résultats nets en progression, grâce notamment à leur stratégie d’agir sur plusieurs fronts. Ainsi, la banque de détail un peu en peine de rentabilité peut-elle être « rattrapée » par une autre activité plus lucrative, quitte à se repositionner rapidement sur un autre secteur si le vent est porteur. Néanmoins, toutes les institutions bancaires voient le secteur de la banque de détail à la peine aujourd’hui. Le pole des marchés domestiques est globalement en perte de vitesse, et les banques dont cette activité est le carburant principal en pâtissent fortement. Le niveau bas des taux d’intérêt plombe les marges de crédit, tandis que le marché boursier qui ne cesse d’osciller limite la rentabilité des revenus des placements qui lui sont liés.

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  • Des demandes de crédit en quantité excessive

Si on ne remédie pas rapidement à l’endettement excessif, il conduit au surendettement. Les banques centrales sont entrain d’amorcer la crise économique 2019 et cela pousse à l’endettement.

Comment sommes nous arrivé à ce stade ?

Les origines de l’endettement sont nombreuses :

  • La perte d’emploi
  • Le bouleversement des situations familiales : naissance, décès, maladie, accident, divorce, congé parental, imprévue…

Les facteurs qui conduisent à cette situation, peuvent être les changements des conditions de travail et les obstacles temporaires mais significatifs que rencontrent surtout les professions libérales, les artisans et les commerçants, la mauvaise gestion et élaboration du budget, la faillite de l’entreprise familiale dans laquelle est engagée une garantie personnelle, la création d’entreprise individuelle qui a déposé le bilan.

Cependant, quelque soit la raison qui pousse aux demandes de crédit en quantité excessive aujourd’hui, cela tire la sonnette d’alarme d’une crise économique 2019 qui promet d’être un coup de massette sur le dos des ménages en particulier.

  • L’inflation : baisse du pouvoir d’achat

L’inflation est un dysfonctionnement de l’économie de marché. Hausse continue des prix de l’ensemble des biens et services. La mesure de l’inflation est basée sur l’indice des prix. Il existe diverses théories et explications à la hausse des prix.

Inflation par les couts

Le prix d’un produit peut augmenter parce que son cout de fabrication augmente ou parce que les produits qui le composent augmentent.

  • L’augmentation du cout de fabrication provenant d’une hausse des salaires dans la majeure partie des cas ;
  • L’augmentation des matières premières au cas où celles-ci sont achetées à l’étranger, il s’agit de l’inflation importée. C’est une inflation qui peut conduire à une spirale inflationniste : l’augmentation des salaires induit une augmentation des prix, qui entraine une revendication de hausse de salaire pour maintenir le pouvoir d’achat.

Théorie monétaire

D’après Milton Friedman, l’augmentation des prix provient d’une création de monnaie excessive. Il est créé plus de monnaie que de richesse réelle dans le pays, ce qui déprécie la valeur de cette monnaie, donc fait augmenter les prix pour compenser cette dépréciation.

Inflation structurelle

L’inflation se réduit à un symptôme des déséquilibres de l’économie. Ces déséquilibres seraient provoqués par tous les éléments qui éloignent l’économie du modèle théorique du MCPP.

L’inflation pénalise les épargnants et d’une manière générale toutes les personnes à revenu fixent. Cette inflation pénalise le commerce extérieur en rendant les produits relativement plus chers à l’étranger. L’inflation entraine des taux d’intérêt élevé qui n’incitent pas les ménages au crédit à la consommation.

Le pouvoir d’achat par ménage ne cesse de diminuer depuis 2008, selon les calculs de l’Insee. Les devises perdent de plus en plus de valeur et les habitants le ressentent. On voit les gents défiler dans les rues.

  • L’inversion de la courbe des taux d’intérêt obligataires

 La courbe des taux obligataires américains s’est inversée pour la première fois depuis la crise économique de 2017. L’histoire se répétant, il annonce la crise économique 2019. En effet, les quatre dernières inversions de la courbe des rendements obligataires américains (1981, 1991, 2001, 2008) se sont sans exception soldées par l’éclatement d’une crise économique et financière. Ceci étant, on est en droit de penser que l’inversion récente de la courbe des taux aux Etats Unis annonce la crise économique 2019.

Que c’est-il réellement passé ?

Depuis quelques temps, les taux d’intérêt chutent, alors que beaucoup de prévisionnistes prévoyaient une remonté. Celui des obligations françaises a ainsi atteint à nouveau les points bas d’il y a 3 ans. « Cela provient de plusieurs phénomènes. Il s’agit tout d’abord d’un changement structurel : nous vivons désormais dans une période déflationniste, à cause de la démographie, du poids de la dette et des changements technologiques. En outre, les politiques des banques centrales demeurent aujourd’hui encore très accommodantes. Le loyer de l’argent est dont bas, et risque de rester pendant très longtemps. L’évolution récente s’explique quant à elle par une inquiétude plus conjoncturelle. C’est-à-dire que les investisseurs pensent que nous sommes à l’aube d’une récession américaine ». Pour la première fois, depuis plus de 10 ans, les rendements des titres du trésor américain à court terme sont passés au-dessus des emprunts souverains à long terme. Ainsi, on peut expliquer cela par le fait que les marchés s’inquiètent plus pour les mois à venir qu’au terme des prochaines années.  Une inquiétude qui tant, bien sûr, à entrevoir logiquement une crise économique 2019.

Qu’est-ce qu’une inversion de la courbe des taux d’intérêt?

Une inversion de la courbe des taux d’intérêt se justifie par le fait qu’il coute moins cher d’emprunter à long terme que d’emprunter à cour terme. On comprend par là que l’argent prêté sur de longues années expose l’investisseur à davantage de risques, son rendement devrait donc dépasser celui de l’argent prêté sur de courtes périodes C’est un phénomène qui défie la rationalité économique. Tout de même il s’explique.

Comment expliquer un tel phénomène ?

En se focalisant sur la politique monétaire, on peut donner une explication. En effet, lorsqu’une banque centrale relève ses taux directeurs, certains produits financiers plus risqués redeviennent attractifs, certains investisseurs préfèrent alors retirer leur argent du marché obligataire de court terme pour rediriger leurs capitaux vers de nouveaux placements plus rentables. Cette baisse de la demande pour les obligations de court terme entraine alors une baisse de leur prix, et donc une augmentation mécanique des taux obligataires de court terme jusqu’à ce qu’ils deviennent supérieurs au taux de long terme.

D’autre part, lorsqu’on tient compte des anticipations des investisseurs on trouve également une explication au phénomène d’inversion de la courbe des taux d’intérêt. Une fois que l’horizon économique devient sombre, les investisseurs se tournent en effet vers des valeurs de refuges tels que les obligations d’Etat de long terme. Le marché obligataire étant régi par la loi de l’offre et de la demande, si la demande d’obligations à long terme augmente, leur prix augmente, et les rendements de long terme diminuent donc jusqu’à devenir inférieurs aux taux de court terme.

Crise économique en 2019 ou plus tard ?

Lorsqu’on analyse les causes lointaines et proches de la crise des subprimes en 2008 on ne peut s’empêcher de faire un rapprochement avec la situation économique et financière que nous vivons depuis une décennie et les alertes actuelles. Objectivement, la crise économique 2019 est inévitable au regard de toutes les preuves qui paraissent au jour d’aujourd’hui. Les 5 peuvent qui ressortent dans cet article sont celles qui, lorsqu’elles sont vérifiées, l’ancre est levé. Cependant plusieurs autres preuves d’une crise économique 2019 certaine, mais pas des moindres sont à suivre.

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