Les politiques écologiques radicales ne sauvent pas la planète, elles détruisent l’Occident. Derrière des slogans « verts » et des promesses de transition énergétique se cache une machine à sacrifier des industries clés, à détruire des millions d’emplois, et à piéger des nations entières dans une dépendance stratégique.
L’interdiction des véhicules thermiques, présentée comme un progrès, est un véritable suicide industriel. Les voitures électriques, censées incarner l’avenir, nécessitent des batteries produites à partir de métaux rares comme le lithium et le cobalt. Leur extraction provoque des catastrophes écologiques et nourrit des abus humains dans les pays producteurs, tout en plaçant l’Occident sous la dépendance totale de la Chine, qui contrôle ces ressources stratégiques. Pendant que les usines ferment en Europe, les États-Unis et l’Inde refusent de céder à ces diktats écologiques et protègent leur industrie automobile.
Mais cela ne s’arrête pas là. L’éolien, souvent présenté comme la pierre angulaire des énergies renouvelables, est une imposture écologique. Intermittente et dépendante des conditions climatiques, cette technologie coûteuse repose sur des subventions publiques massives. Les parcs éoliens défigurent les paysages, détruisent des écosystèmes et deviennent, en fin de vie, des déchets non recyclables. Pourtant, les gouvernements, alignés sur les intérêts des lobbys industriels et des élites financières, continuent de l’imposer.
Enfin, le développement durable, concept glorifié par les institutions globalistes comme l’ONU, est bien plus qu’un programme environnemental : c’est une idéologie malthusienne visant à réduire la croissance démographique en Occident. Sous couvert de sauver la planète, cette propagande pousse des jeunes à adopter des comportements extrêmes, comme la stérilisation volontaire ou le refus d’avoir des enfants, tout en appauvrissant les nations occidentales. Pendant ce temps, des puissances comme la Chine et l’Inde poursuivent leur expansion démographique et économique.
Ce système, piloté par les élites globales, n’a qu’un but : imposer une décroissance forcée à la majorité pour préserver les richesses et le pouvoir d’une minorité.
Les masques tombent. Ce « développement durable » n’a rien de durable pour l’Occident, et encore moins pour ses peuples. Qui tire vraiment les ficelles de cette destruction programmée ? La vérité est bien plus sombre qu’on ne veut vous le faire croire.
Salim Laibi, Sylvain Baron et Patrick Pasin ne mâcheront pas leurs mots face à cette fraude écologique, alors ne manquez pas ce rendez-vous sur Géopolitique Profonde avec Mike Borowski !