Il nous ont fait acheter des milliards de doses avec des négociations totalement illégales réalisées par Ursula von Der Leyen, des milliards de doses totalement inutiles et maintenant ils veulent que les commandes annulées soient payées 50 % du prix, soit 10 € la dose. Très cher payé pour des doses qui seront jetées à la poubelle car plus personne ne veut se faire vacciner aujourd’hui en France. Pourtant, le budget de la Sécu est catastrophique et l’état du système de santé français est dramatique ; malgré ça Big Pharma ose demander de l’argent pour des produits qui ne seront pas utilisés et qui seront jetés. Comment est-il possible de racketter aussi facilement les Trésors publics des pays européens alors que l’entreprise Pfizer a été condamnée à de très nombreuses reprises par la justice pour des faits très graves ?
(Reuters) – Pfizer (NYSE:PFE) et BioNTech ont fait une nouvelle proposition à l’Union européenne, face au surnombre de doses de vaccin contre le coronavirus, notamment que les pays membres paient la moitié du prix, soit environ 10 euros, pour chacune des quelque 70 millions de doses annulées, rapporte le Financial Times dimanche.
Les termes révisés du contrat permettraient à l’Union européenne de se fournir en vaccins plus récents et adaptés à des variants futurs du COVID-19, ajoute le journal britannique, citant des sources proches des négociations.
En janvier, Reuters avait fait état de discussions entre l’UE et les deux laboratoires sur une réduction pouvant aller jusqu’à 500 millions du nombre de doses de vaccin que Bruxelles s’était engagé à acheter cette année.
L’Europe espère relancer à la place les investissements et améliorer l’accès à des médicaments abordables, les budgets de santé des pays ayant été mis à rude épreuve lors de la pandémie de coronavirus.
Pfizer a refusé de commenter l’article du FT mais indiqué que les discussions se déroulaient « en bonne intelligence de la part de toutes les parties ». Son partenaire BioNTech et l’Agence européenne des médicaments n’ont pas répondu aux demandes de commentaires adressées par Reuters.