L’autorisation des frappes en profondeur par les forces ukrainiennes, soutenue par l’administration Biden, a été présentée comme un tournant stratégique majeur pour affaiblir la Russie. Mais derrière cette façade se cache une réalité bien plus sombre : ces frappes, strictement encadrées par Washington, n’ont produit aucun résultat concret sur le terrain. Alors que les médias parlent d’une escalade décisive, les faits montrent que cette décision sert avant tout les intérêts de l’État profond américain.
Depuis le début du conflit, l’objectif des élites occidentales n’est pas de ramener la paix, mais de prolonger la guerre. Alimentée par le complexe militaro-industriel, cette stratégie cynique engrange des profits colossaux tout en sacrifiant les Ukrainiens, qui subissent les conséquences directes de cette manipulation. Ce conflit n’est pas mené pour la liberté ou la démocratie, mais pour imposer un ordre unipolaire dominé par les États-Unis, au mépris des vies humaines et de la souveraineté des nations.
Au cœur de cette guerre par procuration, des figures comme Bernard-Henri Lévy incarnent cette propagande belliciste. Toujours présent sur les fronts médiatiques, il plaide pour une escalade militaire qui ne profite qu’aux grandes multinationales et aux intérêts financiers des élites mondiales. Les morts s’accumulent, les populations souffrent, mais les marionnettistes du conflit prospèrent.
La présence de combattants coréens dans les rangs ukrainiens reflète l’état de désespoir des autorités de Kiev. Leur impact sur le terrain est négligeable, tout comme les nombreuses stratégies mises en place par l’Occident pour tenter de renverser la situation. L’armée russe continue de consolider ses positions, tandis que l’économie ukrainienne s’effondre et que les forces armées s’épuisent.
Les illusions d’une victoire rapide, entretenues par les médias et les politiciens, se sont écroulées. Aujourd’hui, la guerre en Ukraine est devenue une guerre d’usure, orchestrée par des élites qui jouent aux échecs avec la vie des peuples. Ce conflit n’est pas une guerre pour la paix, mais un outil cynique au service d’intérêts stratégiques et financiers.
Ce conflit n’est pas une guerre pour la paix, mais un outil cynique au service d’intérêts stratégiques et financiers. Les masques tombent, et la réalité de ces manipulations apparaît au grand jour.
Xavier Moreau, le Général Dominique Delawarde et Sylvain Ferreira feront tomber ces masques dans la Matinale de GPTV, animée par Raphaël Besliu et Nicolas Stoquer.
À 8h, retrouvez Xavier Moreau, suivi de Sylvain Ferreira à 9h15 et du général Dominique Delawarde à 9h45.