Alors que l’élection américaine approche à grands pas, les tensions montent. À moins de trois mois du scrutin, les sondages ne sont pas favorables pour Donald Trump. Face à lui, Kamala Harris bénéficie d’un soutien massif des médias, ce qui renforce sa position dans la course à la Maison-Blanche. Mais au-delà des apparences, un ensemble de forces semble se mobiliser en coulisses pour garantir la défaite de Trump et la victoire de Harris.
La justice, toujours en embuscade, n’a pas encore terminé son travail avec Trump. Les affaires en cours pourraient bien peser sur sa campagne, affaiblissant son image et sa crédibilité. De plus, la menace d’une nouvelle crise sanitaire liée au MPOX (un futur « COVID 2.0 » ?), pourrait justifier l’imposition de nouvelles restrictions. Ces mesures ouvriraient la porte à l’utilisation massive du vote par correspondance et électronique, une méthode qui, selon certains observateurs, pourrait être exploitée pour favoriser la fraude électorale.
Enfin, l’introduction d’une identité numérique pour le vote de novembre est une possibilité qui alimente de nombreuses spéculations. Cette technologie, présentée comme une solution moderne et sécurisée, pourrait aussi devenir un outil controversé dans le processus électoral. L’État profond, qui rassemble diverses institutions et groupes d’influence, semble prêt à déployer toutes ses armes pour assurer que le 46e président des États-Unis ne soit pas Trump. La bataille pour la Maison-Blanche s’annonce féroce, avec des enjeux majeurs pour l’avenir du pays.