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Le chef du gouvernement Matteo Renzi négocie avec Bruxelles pour éviter une crise bancaire. Les ménages devront passer à la caisse. Qu’ils soient contribuables ou investisseurs.

Le chef du gouvernement italien a deux feux simultanés à éteindre. Le premier, peut-être le plus urgent, concerne la recapitalisation des banques. Signe du degré d’urgence, la plus internationale d’entre elles, Unicredit, a annoncé mardi la vente de 10% de l’une de ses filiales, FinecoBank, pour 328 millions d’euros. But de l’opération: renforcer son bilan – précisément son ratio CET1, l’indicateur le plus scruté par les marchés.

Le second problème à régler – directement lié au premier – porte sur la qualité des portefeuilles des établissements financiers. Ceux-ci contiendraient quelque 360 milliards d’euros de créances douteuses.

[…] Pour remédier à la situation, il va falloir procéder à un «bail-in». Le problème, c’est que les créanciers en question sont aussi des petits épargnants.

Selon les estimations de Bank of America Merrill Lynch, les petits investisseurs détiennent 235 milliards d’obligations bancaires italiennes. Ces titres représenteraient entre 11 et 14% de l’épargne privée en Italie.

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