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Le shadow banking : la finance de l’ombre et ses risques sur l’économie

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Le shadow banking, ou littéralement « finance de l’ombre », pèse de plus en plus lourd dans l’économie internationale. Mais cette finance parallèle représente aussi un risque majeur pour le système bancaire traditionnel… surtout dans un contexte économique international où les indicateurs passent déjà au rouge.

Mieux comprendre le shadow banking

Dans le monde de la finance, on distingue le système bancaire classique du « shadow banking ». Cette finance de l’ombre, ou finance fantôme, n’est rien de moins qu’une finance parallèle. Elle regroupe les opérations financières réalisées en dehors des bilans des banques. On parle aussi de finance « déstructurée ».

Quand les transactions passent du système bancaire habituel…

Pour mieux comprendre le fonctionnement de la finance de l’ombre par rapport au système bancaire classique, on peut évoquer le cas habituel d’un particulier qui se tourne vers sa banque pour certains besoins de financement. Une demande de prêt immobilier par exemple, ou un prêt à la consommation pour un achat de voiture ou pour un projet personnel. Pour répondre à ce type de demande, la banque puise dans les dépôts bancaires, mais également dans les liquidités que procurent les banques centrales. L’emprunteur rembourse une somme convenue tous les mois, avec un taux d’intérêt plus ou moins élevé. L’établissement bancaire absorbe ensuite une partie des bénéfices dans ses fonds propres. Elle conserve surtout la trace de l’ensemble de ses transactions dans ses bilans : les banques sont soumises « à toute une série d’astreintes et de règles prudentielles » (source).

…. aux opérations de finance peu régulée !

Pour répondre à ces réglementations, les banques ne sont pas autorisées à avoir des créances que l’on pourrait qualifier de « douteuses ». Depuis les années 80, on assiste donc à une multiplication des opérations de titrisation, c’est-à-dire de la transformation de créances en titres financiers. Les opérations sont ainsi sorties des bilans financiers des banques, avec un taux d’intérêt plus élevé pour les plus risquées.

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