La déflagration de la « grenade » lancée par Macron pourrait bien lui faire perdre quelques plumes !

Notre président, en quête désespérée de légitimité, semble s’être pris les pieds dans le tapis.

Seulement 40 % de ses députés pourraient accéder au second tour selon les derniers sondages.

En annonçant précipitamment les élections législatives, il espérait surfer sur une vague de peur pour contrer Marine Le Pen, mais rien ne dit encore que la stratégie du chaos ne pourrait pas se retourner contre lui.

La cote de popularité de Macron est évidemment au plus bas depuis 5 ans et demi, malgré ses appels à éviter les « extrêmes ».

Les partis de gauche se sont unis rapidement et ont formé une coalition qui menace sérieusement les centristes de Macron.

Bruno Le Maire, quant à lui, agite le spectre de la crise de la dette en cas de victoire du Rassemblement National.

Stratégie de la peur.

Cocasse au regard de son bilan catastrophique.

Celui qui se vante d’avoir sauvé l’économie Française s’engage à faire baisser la facture d’électricité en 2025 (après l’avoir augmenté de 45%) de 10% à 15% alors qu’il ne sera certainement plus en fonction !

Macron, isolé lors du G7, n’a même pas trouvé de soutien solide parmi ses homologues européens.

Pendant ce temps, les marchés européens vacillent, et les investisseurs se réfugient dans des actifs américains et allemands.

L’incertitude et la défiance gagnent du terrain.

La production industrielle de la zone euro en berne ne fait qu’amplifier le climat de récession.

Bref, la crise qui approche s’annonce très mouvementée.