L’ordre mondialiste vacille, et Donald Trump en est l’élément déclencheur. Avec sa vision souverainiste, il replace les États-nations au cœur des décisions, écrasant un système supranational affaibli par ses contradictions. Son programme protectionniste et son rejet des institutions transnationales marquent un tournant historique. Cette dynamique est imparable : les peuples américains, encouragés par des figures comme Elon Musk, redéfinissent les priorités économiques, sociétales et géopolitiques.
En Europe, la contestation s’intensifie. Les institutions européennes, autrefois moteurs du mondialisme, s’effondrent sous la pression des crises économiques, sociales et migratoires. Bruxelles perd peu à peu son emprise : l’Allemagne, la Hongrie, la Pologne et même le Royaume-Uni tracent la voie de la souveraineté. Mais en France, l’immobilisme domine. Le pays, figé dans ses dogmes technocratiques, s’enfonce dans une paralysie qui pourrait bien lui être fatale.
Davos, ce bastion de l’élite mondialiste, illustre parfaitement ce déclin. Leurs discours alarmistes sur le climat ou les pandémies ne trouvent plus d’écho. Malgré des tentatives désespérées pour imposer des outils comme les monnaies numériques de banque centrale (CBDC), les peuples rejettent ces stratégies liberticides. La volonté populaire s’impose face à un modèle centralisé qui n’a plus de réponses.
Le basculement vers un monde dominé par les nations souveraines est désormais inévitable. Partout, les populations rejettent les élites mondialistes pour reprendre le contrôle de leur destin. Une nouvelle ère s’ouvre, marquée par le triomphe de la souveraineté et de la volonté populaire.
Oskar Freysinger et Christian Vanneste vous expliquent tout ce qu’il faut savoir, en direct dans La Matinale de Géopolitique Profonde avec Nicolas Stoquer !