La justice française légitime-t-elle désormais la pédocriminalité ? Cette question choc trouve sa réponse dans une affaire bouleversante. Un adolescent de 15 ans, victime d’une femme de 35 ans, est devenu père pour la seconde fois. Malgré deux plaintes déposées par sa mère, accompagnées de preuves accablantes, aucune action judiciaire n’a été entreprise.
Depuis 2023, cet adolescent, originaire de Marignane, entretient une relation avec cette voisine, une prédatrice adulte. Les preuves, incluant des échanges de textos explicites et plusieurs courriers envoyés au procureur, n’ont eu aucun effet. En septembre 2024, le jeune garçon devient père pour la première fois. Deux mois plus tard, un deuxième enfant est en route. Pendant ce temps, la justice classe les plaintes sans suite, validant implicitement cette relation criminelle.
Cette inaction honteuse met en avant une faillite totale des institutions. La police, les tribunaux et les services sociaux abandonnent un mineur en danger. L’Assistance Éducative en Milieu Ouvert (AEMO), prononcée par un juge pour enfants, n’a conduit à aucune mesure concrète pour protéger l’adolescent. La justice refuse d’agir, normalisant ainsi le viol et le détournement de mineur.
La mère du jeune homme dénonce une manipulation psychologique destructrice. Cet adolescent, en rupture scolaire et familiale, est livré à lui-même, son avenir et celui de ses enfants irrémédiablement compromis. Le silence des institutions face à cette affaire choque et révèle un mépris flagrant pour les lois censées protéger les mineurs.
Les faits ne laissent aucune place au doute. Ce crime évident, pourtant impardonnable, reste totalement impuni. Pourquoi la justice et les institutions ferment-elles les yeux ? Quels intérêts ou dysfonctionnements empêchent d’agir face à un tel scandale ?
Ce drame révèle des vérités dérangeantes sur le système français. Ne manquez pas l’analyse complète de Mike Borowski, en direct sur Géopolitique Profonde.
