Par sa politique monétaire, la Banque centrale européenne favorise les groupes riches. Au travers d’une émission obligataire historique, le groupe LVMH en est l’un des principaux bénéficiaires. La députée européenne (FI) Manon Aubry s’insurge contre ces largesses.
Les médias et les politiques évoquent enfin l'épineux sujet du "détournement" des milliards de la BCE en faveur du rachat d'actions par les milliardaires et les multinationales.
À l'origine, cet argent devait servir à faciliter le crédit dans l'économie et à favoriser l'emploi. https://t.co/q95aF3w64i— Anice Lajnef (@AniceLajnef) June 25, 2020
Bernard #Arnault a profité des largesses des banques centrales pour emprunter l'équivalent de 10 milliards de dollars et s'offrir le groupe Tiffany & Co.
Voilà à quoi sert l'argent magique, alors que nos hôpitaux publics sont au bord de l'effondrement !https://t.co/MbuVNRweNX pic.twitter.com/rIaBnOIN36— Anice Lajnef (@AniceLajnef) March 11, 2020
Grâce à la politique monétaire de la BCE, le groupe LVMH de Bernard #Arnault emprunte des dizaines de milliards d'euros à de très faibles taux d'intérêts.
Et que fait-il avec ? Il rachète ses propres actions pour faire monter le cours et pour augmenter les dividendes.#Magique pic.twitter.com/fbyKTrymPO— Anice Lajnef (@AniceLajnef) March 11, 2020
Par sa politique monétaire, la Banque centrale européenne @ecb favorise les groupes riches. Au travers d’une émission obligataire historique, le groupe LVMH en est l’un des principaux bénéficiaires. @ManonAubryFr s’insurge contre ces largesses. https://t.co/xvGA5upTcH
— Mediapart (@Mediapart) June 25, 2020