Le 11 novembre, alors que la France commémorait l’Armistice de la Première Guerre mondiale, Emmanuel Macron accueillait discrètement Alexander Soros à l’Élysée, dans le cadre du « 7e Forum pour la Paix ». Cette rencontre, restée loin des projecteurs médiatiques, soulève plusieurs interrogations, notamment sur les raisons de son absence de couverture par les grands médias. La présence de Soros, héritier de l’influence mondiale de son père, alimente des spéculations sur la nature des discussions, qui pourraient avoir porté sur des enjeux stratégiques pour la politique française et européenne.
L’influence grandissante d’Alexander Soros sur l’agenda mondialiste, notamment en Europe et aux États-Unis, soulève des questions quant à son rôle lors de cette rencontre. Alors que des tensions internationales se multiplient, certains se demandent si ce dîner n’a pas été l’occasion pour Soros d’influencer des décisions politiques à venir, notamment en matière de réformes. La proximité de cette réunion avec des élections américaines cruciales ajoute au mystère, et l’absence de médias pourrait être perçue comme une tentative de dissimuler une influence étrangère potentiellement mal perçue.
Le coût de ce dîner, en pleine période de rigueur budgétaire, suscite également la polémique. Alors que les Français font face à l’inflation et aux réformes, la question de savoir si les contribuables ont financé cette rencontre entre élites renforce les critiques sur la gestion des fonds publics. Cette opacité, tant sur le contenu des échanges que sur les dépenses engagées, alimente un climat de méfiance croissant à l’égard des institutions et exacerbe les fractures sociales, en particulier lorsque les décisions politiques sont perçues comme déconnectées des réalités quotidiennes des citoyens.
On vous attends nombreux pour ce direct avec Mike Borowski sur GPTV.