Les grandes métropoles se transforment en forteresses inaccessibles, réservées à une élite déconnectée des réalités du peuple. Derrière les discours officiels sur l’écologie et la modernisation, un véritable projet de ségrégation sociale se met en place. Loyers inabordables, restrictions de circulation, fiscalité écrasante : tout concourt à chasser les classes populaires vers la périphérie, pendant que les centres-villes deviennent des sanctuaires pour les ultra-riches. Les migrants, eux, restent tolérés, assurant à bas coût les services dont cette oligarchie a besoin, sans jamais troubler son entre-soi.
L’immobilier devient un instrument de dépossession massive. Les nouvelles normes énergétiques et fiscales rendent la propriété inaccessible, forçant les Français à vendre à perte pendant que les grands groupes s’emparent du marché. Loin d’être un hasard, cette dynamique s’inscrit dans une logique implacable : demain, vous ne posséderez plus rien, et tout sera sous le contrôle de multinationales avides de profits.
La voiture électrique, présentée comme l’avenir, s’impose comme une autre arme de contrôle. Son prix exorbitant la réserve aux plus aisés, pendant que les restrictions sur les moteurs thermiques condamnent les moins riches à l’immobilité. Derrière l’illusion écologique, une nouvelle barrière sociale se dresse, privant les Français de leur liberté de mouvement au profit d’un modèle où chaque trajet devient un luxe.
Ce que nous vivons n’est pas une simple évolution urbaine, mais un basculement de société orchestré en toute impunité. Qui tire les ficelles de cette transformation brutale ? Qui profite de cette mise sous tutelle des classes moyennes ? Les réponses se trouvent là où peu osent regarder…
Maître David Guyon, Serge Federbusch, Antoine Gainot et Mike Borowski analysent ce sujet en direct sur Géopolitique Profonde.