📍 Yuval Hariri, porte-parole de Klaus Schwab, a récemment fait une déclaration qui fait froid dans le dos. « Si les choses empirent et que le déluge arrive » a déclaré Harari, lui et la cabale de maîtres du monde obscurs partageant les mêmes idées « construiront une arche et laisseront les autres se noyer ».
Harari développe aussi les raisons de l’indifférence froide de ses collègues appartenant à « l’élite » à l’égard du sort de la grande majorité des habitants de la Terre :
📍 https://thepeoplesvoice.tv/wef-adviser-we-dont-need-the-vast-majority-of-the-population/
« Si vous remontez au milieu du 20e siècle… et que vous pensez à construire l’avenir, alors vos matériaux de construction sont ces millions de personnes qui travaillent dur dans les usines, dans les fermes, les soldats. Vous en avez besoin. Vous n’avez aucun avenir sans eux.
Ce qu’il veut dire, c’est que les élites sociales et financières dominantes de cette époque – avaient encore besoin du travail de millions de personnes dans les différents domaines de l’activité économique afin de réaliser des bénéfices. Depuis, comment les choses ont-elles changé selon le « futurologue » Harari ?
« Aujourd’hui, au début du 21e siècle, nous n’avons tout simplement plus besoin de la grande majorité de la population, parce que l’avenir consiste à développer des technologies de plus en plus sophistiquées, comme l’intelligence artificielle [et] la bio-ingénierie, la plupart des gens n’y contribuent plus, à l’exception peut-être de leurs données, et même si les gens font encore quelque chose d’utile, ces technologies les rendront de plus en plus inutiles et permettront le remplacement de ces personnes.
Harari mérite d’être reconnu pour son honnêteté à glacer le sang et pour l’imoralité de ses « visions » et de celles de ses maîtres. Il signale clairement que l’écrivain, les éditeurs de ce portail, ses lecteurs et le reste de l’humanité sont remplaçables et, indépendamment de toute utilité économique qu’ils pourraient encore posséder, sont dépourvus de toute dignité ou valeur inhérente.
Harari et son supérieur immédiat dans la nomenklatura élitiste, Klaus Schwab, sont techniquement des particuliers. Leur organisation, le Forum économique mondial, est une ONG privée enregistrée en Suisse. Formellement, ils ne représentent ni ne parlent au nom d’un gouvernement ou d’une structure officielle qui pourrait prétendre à la légitimité. Ils n’ont aucune licence pour planifier ou organiser l’avenir de l’humanité, à part l’auto-autorisation qu’eux-mêmes et les centres de pouvoir oligarchiques mondialistes avec lesquels ils communient et se mêlent se sont arrogés. Personne ne les a élus ou habilités à planifier l’avenir de quiconque, si ce n’est le leur, et encore, à titre strictement privé.
Pourtant, disposer de l’avenir de l’humanité est précisément ce qu’ils prétendent faire, à Davos en session plénière une fois par an et le reste du temps en confabulation conspiratrice entre eux.
La nature de la « planification » à laquelle ils se livrent devrait être d’un grand intérêt et d’une grande inquiétude pour tout le monde. Non seulement pour l’hubris débridée qu’elle affiche, mais surtout pour le dessein homicide qui la sous-tend, à une échelle vaste et jusqu’ici inimaginable, que Raphael Lemkin était incapable de concevoir lorsqu’il a inventé le terme de « génocide ».
Quand et si le « tsunami » prévu pour noyer l’humanité se produit, et nous pouvons être sûrs que Harari et ses cohortes ont la capacité de le faire se produire au moment et de la manière qu’ils choisissent, comme l’a montré l’événement sanitaire récemment fabriqué, ils ne pleureront pas les victimes. Au contraire, ils se réjouiront du succès de leur œuvre. Alors que l’essentiel de l’humanité se « noie », ils jubilent.
