La guerre en Ukraine ne se joue plus seulement sur le terrain : elle se livre aussi, et surtout, dans les esprits. Nous sommes entrés dans l’ère de la guerre cognitive. Une guerre d’un nouveau genre où ce ne sont plus les faits qui comptent, mais la manière dont ils sont représentés, diffusés, manipulés.
Derrière le choc des bombes, c’est une autre offensive qui se déploie : celle du récit unique, imposé par les élites occidentales, servi en boucle par les médias de masse et verrouillé par les plateformes numériques. L’objectif ? Formater la perception du public, neutraliser la pensée critique et réduire au silence toute analyse alternative. L’espace de la pensée libre est méthodiquement écrasé par le bruit médiatique et la saturation émotionnelle.
Dans ce système de conditionnement massif, Emmanuel Macron incarne à lui seul l’aveuglement stratégique occidental. Entre surenchère militaire, déclarations explosives et obsession d’une Europe qu’il rêve de diriger, il isole la France de ses partenaires, tout en la plaçant en première ligne d’un affrontement risqué avec Moscou. Sa diplomatie n’est plus que posture, ses alliances fragilisées, sa stratégie inexistante.
L’Europe, loin de construire une voie autonome, s’est totalement alignée sur les intérêts de Washington. Macron voulait incarner une puissance d’équilibre, il précipite la France dans un rôle d’exécutant zélé. Il ne reste que les ruines d’une souveraineté sacrifiée sur l’autel de l’idéologie, et les Français, bientôt, en paieront le prix.
Ils ne voient rien. Ils n’entendent rien. Et pourtant, ils sont déjà enrôlés dans la guerre cognitive. Ce que Nicolas Stoquer, Florian Philippot, Oskar Freysinger, Romain Maréchal et Éric Denécé dévoilent ici dépasse toutes les lignes rouges, en direct dans La Matinale de GPTV.