Le triomphe du film Emilia Pérez aux César n’est pas anodin : il marque une étape clé dans l’évolution idéologique de notre société. Derrière l’histoire d’un baron de la drogue mexicain qui transitionne pour devenir une femme, c’est un message clair qui est envoyé. Jadis périphérique, la question transgenre est désormais un pilier du discours dominant, promue sans débat par les institutions culturelles et politiques. Cette victoire illustre l’accélération d’un projet qui dépasse largement le cadre du cinéma.
Depuis l’arrivée d’Emmanuel Macron au pouvoir, l’agenda trans a pris une place centrale dans la refonte des repères identitaires. Ce qui est présenté comme une avancée sociale est en réalité un bouleversement profond, imposé par l’État, les médias et l’industrie du divertissement. Dans les écoles, les administrations et les productions audiovisuelles, la promotion du transgenrisme est devenue une norme, excluant toute critique sous peine d’être marginalisée.
Cette mutation civilisationnelle ne se limite pas au genre : elle s’inscrit dans une dynamique plus large de déconstruction des structures traditionnelles, touchant la famille, l’éducation et les fondements mêmes de la société occidentale. La célébration de Emilia Pérez aux César est le symbole de cette transformation, où le cinéma sert de vecteur à une idéologie façonnée par une élite progressiste déterminée à imposer un nouveau paradigme.
Pourquoi ce film a-t-il été couronné par l’ensemble du paysage médiatique ? Quel est le véritable enjeu derrière cette promotion systématique ?
Mike Borowski vous donne son analyse sans filtre ni tabou, en direct sur Géopolitique Profonde.