Les responsables américains ont insisté pour que les entreprises européennes se conforment aussi au rétablissement des sanctions contre l’Iran.
IRAN – La décision du président Donald Trump de retirer les États-Unis de l’accord sur le nucléaire iranien et de rétablir les sanctions concerne les entreprises américaines mais aussi celles en Europe qui avaient recommencé à commercer avec Téhéran.
Outre les avionneurs américain Boeing et européen Airbus, le conglomérat industriel General Electric, les constructeurs automobiles allemand Volkswagen et franco-japonais Renault-Nissan pourraient être touchés alors que les responsables américains ont insisté pour que les entreprises européennes se conforment aussi au rétablissement des sanctions.
Ainsi, Renault, qui a vendu plus de 160.000 voitures en Iran l’an dernier, pourrait être touché en raison de la présence aux États-Unis de Nissan.
Son compatriote PSA est déjà particulièrement bien implanté en Iran où il a une part de marché de 30%. Absent des États-Unis depuis 1991, PSA a indiqué en janvier songer à lancer un service d’autopartage dans une ou deux villes américaines auquel il pourrait devoir renoncer.
Trump est une des plus grosses ordures qu’on est sur terre avec Nétanyahou le sioniste