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Le président russe Vladimir Poutine pointe du doigt l’OTAN, avec un œil particulièrement critique sur la Pologne, accusée d’intensifier un conflit qui s’embourbe en Ukraine.

Lors de sa visite en Ouzbékistan, il a martelé que Volodymyr Zelensky n’était plus à ses yeux le leader légitime de l’Ukraine et il estime que Ruslan Stefanchuk (président de la Rada) pourrait/devrait prendre la relève.

Le maître du Kremlin s’est ensuite attaqué à la décision de l’Ukraine, sous influence occidentale, d’abaisser l’âge de la conscription à 23 ans et même à 18 ans, une manœuvre qu’il considère comme « désespérée » pour maintenir une guerre par procuration contre la Russie.

« Je crois qu’après ces décisions impopulaires, ceux qui représentent aujourd’hui le gouvernement exécutif seront remplacés par des personnes qui ne seront pas responsables de ces décisions impopulaires. Ces représentants seront simplement changés en un instant. »

Poutine a vivement critiqué la proposition du secrétaire général de l’OTAN, Stoltenberg, d’autoriser l’Ukraine à frapper des cibles en Russie, un acte qui ne pourrait se réaliser, selon lui, qu’avec le soutien actif de l’OTAN (besoin de technologie spatiale Occidentale).

Il invite donc l’Occident à « bien réfléchir » à cela.

Il a également confirmé une nouvelle offensive russe près de Kharkov en réponse aux attaques contre Belgorod, justifiant cette action comme une mesure pour établir une « zone de sécurité ».

Vladimir Poutine s’est aussi lamenté de la couverture médiatique occidentale, qu’il trouve biaisée, et a mis en garde contre l’escalade de la violence qui pourrait amener la Russie à étendre ses mesures de sécurité.

L’implication de « conseillers » étrangers en Ukraine a été un autre vecteur d’escalade et les troupes russes interceptent régulièrement des communications en anglais, français et polonais.

La Pologne est donc un acteur clé aux yeux du président russe.

Un acteur peu susceptible de se retirer facilement et qui a des mercenaires déployés sur le front depuis un bon moment.

Le président russe a réitéré son appel à la paix tout en se préparant à une escalade, accusant les États-Unis de manipuler Zelensky pour perpétuer le conflit.

Les prochains « pourparlers de paix » de mi-juin en Suisse sont seulement conçus pour « créer une apparence de soutien mondial » aux exigences unilatérales de l’Occident envers la Russie, visant à lui infliger une défaite stratégique.

Il va sans dire que le président Poutine a promis que cela ne réussira pas, et il a conclu en disant que cela ne ferait que rendre les choses plus douloureuses pour l’Ukraine.

La Pologne et l’OTAN, selon lui, poussent les limites vers une possible Troisième Guerre mondiale.

Un jeu dangereux qui nous rapproche inexorablement de l’utilisation d’armes nucléaires tactiques.

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