Il avait parfaitement anticipé l’état Orwellien de nos médias, qui tous en sont à louanger grassement le leader suprême Emmanuel Macron, désormais revêtu de sa panoplie de chef de guerre. Dans son dernier livre « Qui est le Diable, l’autre ou l’Occident », Régis le Sommier avait établi un diagnostic impeccable de ce que l’on peut désormais appeler la « Russophrénie », la pathologie mentale qui consiste à voir la Russie comme perdante et conquérante à la fois, comme identiquement avide de puces éléctroménagères et capables de prendre Paris en trois semaines.
Son analyse initiale s’étant révélée impeccable, nous la sollicitons ici in futurum