Volodymyr Zelensky pensait obtenir un soutien inébranlable de Washington. Il a reçu une leçon de realpolitik. Face à Donald Trump, il a tenté la provocation, mais s’est heurté à une vérité brutale : sans les États-Unis, l’Ukraine s’effondrerait en deux semaines. Trump l’a accusé d’attiser le risque de Troisième Guerre mondiale en refusant un cessez-le-feu. Une humiliation qui illustre l’isolement croissant de Kiev, alors que le soutien occidental s’effrite et que l’Europe commence à prendre ses distances.
L’Union européenne enchaîne les revers. Emmanuel Macron, Kier Starmer et d’autres dirigeants se sont rendus à Washington pour négocier avec Trump. Tous sont repartis bredouilles. Pire encore, les États-Unis imposent une taxe de 25 % sur les importations européennes, fragilisant un continent déjà affaibli par l’inflation et la désindustrialisation. L’Europe continue pourtant d’adopter une posture agressive face à la Russie, malgré son impuissance militaire. Cette fuite en avant creuse les divisions internes et pose une question : combien de temps encore avant que certains pays ne remettent en cause leur alignement sur Bruxelles ?
Pendant ce temps, Trump avance sur tous les fronts. Il applique son programme sans concession : fin du wokisme, durcissement migratoire, remise en cause du chantage climatique. Il impose aussi sa marque sur la scène internationale, évoquant même la possibilité de placer Gaza sous administration américaine. Son ascension s’accompagne d’un affaiblissement de l’État profond, qui semble chercher un nouveau bastion en Europe.
Assiste-t-on à un simple repositionnement stratégique ou aux prémices d’une contre-offensive des élites mondialistes ? Une chose est sûre : l’équilibre du monde vacille, et Trump en tient les rênes.