Traitements précoces confisqués, censure des soignants, mortalité et blessures imputables à des vaccins dangereux, Peter McCullough revient sur les événements cliniques graves et sous-estimés par les régulateurs et les agences de santé publique, tandis que la population américaine refuse un peu plus chaque jour l’obligation vaccinale de Joe Biden, manifestant sa désapprobation dans des manifestations qui rassemblent de plus en plus de monde.

Traduction et doublage : Jeanne Traduction – Version originale : English version

Lors de la marche historique du 23 janvier 2022 qui a relié le Washington Monument aux marches du Lincoln Memorial, le professeur McCullough a prononcé à l’arrivée un discours dans lequel il est revenu sur les premiers temps de la pandémie, pour rappeler que tout était connu pour éviter l’hospitalisation et les décès qui se sont malheureusement produits en raison du manque de traitements précoces. Une situation dont il attribue la faute aux agences gouvernementales, pour ne pas avoir aidé les médecins à utiliser tous leurs efforts cliniques, toutes leurs compétences, tous les médicaments disponibles pour prévenir l’hospitalisation et les décès. Puis il aborde la question des vaccins dans le monde, tandis que « le virus réussit de mieux en mieux à vaincre les vaccins à mesure des souches mutantes successives ». Des vaccins qui, au-delà de leur manque d’efficacité, provoquent des blessures mortelles, mais également des événement indésirables graves, et qui pour toutes ces raisons devraient être retirés du marché pour être soumis à un examen approfondi de leur sécurité. Enfin, dans la dernière partie de son allocution, il est question de liberté et notamment de la liberté médicale qui devrait être préservée.

Traduction et sous-titrage : FranceSoir

Le lendemain de cette marche, le 24 janvier, s’est tenue au Sénat, une réunion dirigée par le sénateur Ron Johnson et co-modérée par Peter McCullough, au cours de laquelle la question de la censure et des représailles subies par les professionnels de santé, ont été abordées.

Dans cet entretien, Peter McCullough revient également sur la situation médicale anarchique qui règne actuellement aux États-Unis. Aux lois qui diffèrent selon les États, s’ajoute parfois le non-respect de celles-ci par certains professionnels de santé. En effet, il n’est pas rare qu’une médication prescrite par un médecin ne soit pas délivrée par le pharmacien. À cela s’ajoute la pénurie de certains médicaments, explique-t-il, notamment des anticorps monoclonaux destinés à traiter les formes graves de la maladie.

Devant ce désordre, Peter McCullough rappelle qu’il a mis au point son propre protocole, qu’il détaille et qui comprend différentes molécules anciennes, mais également des molécules nouvelles qui peuvent être différentes selon le variant et le stade de gravité de la maladie.

Dans la dernière partie, le professeur commente certains chiffres des effets secondaires et des décès enregistrés dans la base de données du VAERS (Vaccine Adverse Event reporting System). Selon le VAERS, plus de 20 000 Américains seraient décédés des suites de la vaccination, un chiffre probablement sous-estimé si l’on en croit une étude publiée par des chercheurs de la Columbia University. Cette étude avance des chiffres beaucoup plus importants, avec 187 000 décès et plus d’un million d’effets secondaires.

Voir aussi : « Il n’y avait aucune raison d’approuver définitivement le vaccin Pfizer » Peter McCullough

Un jugement implacable de cet éminent spécialiste qui pense que chaque décision qui a été prise était la mauvaise et qu’il est temps d’abandonner un vaccin dont les Américains ne veulent plus.

Un débriefing proposé en partenariat avec BonSens.org

Le professeur Peter McCullough est un spécialiste de médecine interne, cardiologue et épidémiologiste. Il pratique à la fois la médecine interne, ce qui comprend également la gestion des maladies infectieuses courantes, ainsi que les complications cardiovasculaires liées à la fois à l’infection virale et aux blessures qui se développent suite au vaccin CONTRE LA COVID-19 à Dallas TX, aux États-Unis. Depuis le début de la pandémie, le professeur McCullough est devenu un chef de file dans la réponse médicale à la catastrophe de la COVID-19. Il a publié « Pathophysiological Basis and Rationale for Early Outpatient Treatment of SARS-CoV-2 (COVID-19) Infection », la première synthèse des différents traitements existant et répondant aux différentes phases de la maladie pour des patients en ambulatoires, infectés par le SARS-CoV-2.

Depuis le début de la pandémie de Sars-CoV-2, le professeur Peter McCullough a témoigné à de nombreuses reprises devant le Sénat américain.