La virilité aurait un coût égal au déficit de l’Etat. Dé-viriliser la société – et donc les hommes qui la composent – pourrait dès lors mettre à l’équilibre l’économie nationale. Pas moins. C’est en résumé ce que dit la féministe Lucile Peytavin dont le titre ronflant « historienne, membre du Laboratoire de l’Égalité » donne la tonalité de la tirade qu’elle va nous infliger. Entre chiffres inexacts, biais de confirmation et un léger oubli, celui de tous les apports des hommes dans la société actuelle (soit peut-être 95% de ce qui la compose), Stéphane Edouard s’amuse avec notre activiste.