La crise c0v*d a agi comme un test grandeur nature de la soumission collective. À travers les réactions spontanées des passants interrogés cette semaine dans les rues de Paris, une vérité dérangeante émerge : les Français sont prêts à refaire exactement les mêmes erreurs, sans se poser de questions, sans exiger de comptes. Cette absence de remise en cause révèle une fracture bien plus profonde qu’une simple naïveté sanitaire : une soumission intériorisée, structurelle, presque irréversible
Pourquoi cette obéissance presque religieuse envers l’État ? Comment la peur, savamment entretenue par les médias dominants, a-t-elle éteint toute velléité de critique ou de résistance ? Ce phénomène ne relève pas d’un hasard mais d’une ingénierie sociale rodée, patiemment construite depuis des décennies. L’école, la télévision, les experts de plateau : tout converge pour fabriquer une population docile, consentante, prête à sacrifier sa liberté pour une illusion de protection.
Ce n’est plus seulement une question de santé publique, mais une démonstration de pouvoir. La peur du virus a permis d’instaurer une gouvernance par la contrainte, maquillée en gestion sanitaire. Ce modèle s’impose désormais comme la norme, et toute contestation devient suspecte. Pourtant, une minorité lucide continue d’analyser, de dénoncer et de briser le consensus. Cette émission est leur voix.
Et si le vrai vrus, ce n’était pas le c0vd, mais la soumission volontaire ? Mike Borowski décrypte l’échec de la révolte française face au contrôle global, en direct sur GPTV.
