L’audience entre Volodymyr Zelensky et Donald Trump a viré au fiasco diplomatique, révélant un basculement stratégique majeur. Devant les caméras, Trump n’a pas hésité à recadrer le président ukrainien, affirmant que Kiev jouait avec la troisième guerre mondiale. À ses côtés, J.D. Vance a enfoncé le clou en dénonçant le caractère autoritaire du régime de Zelensky, marquant une rupture nette avec le soutien inconditionnel de l’administration Biden. Ce moment clé signe-t-il la fin du mythe Zelensky et le début de l’isolement total de l’Ukraine ?
Loin des récits officiels, cette rencontre dévoile une réalité troublante : l’Ukraine, autrefois présentée comme un bastion de la démocratie, semble être un pion sacrifié par l’Occident. Trump refuse de s’engager davantage et laisse entrevoir un possible rapprochement avec Moscou. Ce désengagement brutal plonge les alliés européens dans l’incertitude, tandis que la position de l’OTAN vacille.
Ce coup de théâtre diplomatique sonne comme une humiliation pour l’État profond américain, qui misait sur un conflit prolongé pour affaiblir la Russie et renforcer son emprise sur l’Europe. Trump, en brisant ce schéma, redéfinit les rapports de force mondiaux et confirme une tendance que certains avaient anticipée depuis longtemps : l’Ukraine n’a jamais été une priorité stratégique pour Washington, mais un simple levier de pression contre Moscou.
Les masques tombent et la vérité éclate au grand jour : Zelensky, autrefois héros médiatique, se retrouve isolé, tandis que les puissances mondiales rebattent les cartes du nouvel ordre international.
Mike Borowski developpe le sujet en direct sur Géopolitique Profonde.