Et si le wokisme n’était pas un simple courant de pensée progressiste, mais une machine de guerre contre les peuples ? Cette idéologie, présentée comme tolérante et inclusive, sert en réalité d’instrument de domination culturelle. Elle sape les fondations identitaires, désintègre les repères biologiques, et transforme les individus en êtres déracinés, interchangeables, prêts à être formatés.
Derrière le vernis de l’antiracisme ou du féminisme radical, c’est une véritable déconstruction de la civilisation qui est à l’œuvre. Nation, famille, sexe, mémoire : tout est ciblé, inversé, broyé. Le citoyen devient consommateur. L’héritier devient suspect. Le patriote devient réactionnaire. Le transhumanisme et l’idéologie du genre sont les têtes de pont de ce processus global.
Le capitalisme mondialisé a trouvé dans le wokisme un allié parfait : culpabiliser les peuples pour mieux les faire taire, uniformiser les cultures pour mieux les contrôler, imposer un langage, des rituels, une nouvelle morale. Et la France, parce qu’elle est historiquement rétive, parce qu’elle incarne une mémoire rebelle, se retrouve en première ligne.
Le pouvoir macroniste n’est pas neutre. Il promeut activement ces logiques de fragmentation au nom du progressisme. L’obsession du changement de sexe, la glorification de l’“autre” contre le “même”, la mise au ban des traditions : tout cela obéit à une logique précise. Ce n’est pas une dérive. C’est un projet. Celui d’une élite hors-sol, déconnectée du réel, fascinée par la table rase.
Pour comprendre ce que cache vraiment le culte de l’inclusivité, il faut oser regarder là où la propagande interdit de penser.
Ce que disent Jean-Michel Vernochet, Stéphanie Reynaud et Jean-Luc Rober face à Mike Borowski sur GPTV, vous ne l’entendrez pas ailleurs.
