L’affaire Soufiane Ourraoui est une preuve accablante du naufrage judiciaire français. Après avoir assassiné un homme en 2015, il est déclaré pénalement irresponsable et échappe à la prison. Interné puis relâché sous suivi médical, il récidive en 2024, poignardant un jeune père en pleine rue. Une tragédie qui aurait pu être évitée si la justice avait pris en compte les alertes sur sa dangerosité.
Derrière ce drame, un système défaillant se dévoile : des expertises psychiatriques complaisantes, une justice gangrenée par l’idéologie laxiste et un État incapable de protéger ses citoyens. L’irresponsabilité pénale est devenue un passe-droit, permettant à des criminels de rester impunis. Malgré des procédures censées garantir la sécurité publique, des décisions absurdes sont prises, mettant en péril la vie de citoyens innocents.
Le Syndicat de la Magistrature et ses partisans continuent de prôner une vision angélique du crime, où la réhabilitation passe avant la justice pour les victimes. Ce dogme idéologique condamne la société à subir l’impunité des récidivistes. Jusqu’où ira ce laxisme judiciaire ? Combien de familles endeuillées faudra-t-il encore avant une réforme radicale du système ?
Les masques tombent et la vérité éclate : cette affaire n’est pas un accident, mais le reflet d’un système qui sacrifie ses citoyens sur l’autel de l’idéologie. Ce soir, nous levons le voile sur cette mécanique infernale.
Jacques Lukaya-Nseka, l’avocat de la famille, Sarah Frikh et Mike Borowski analysent ce sujet essentiel, en direct sur Géopolitique Profonde.
