Alors que l’attention médiatique vacille, une décision stratégique française vient bouleverser l’équilibre européen. Paris ne se contente plus d’un soutien symbolique à Kiev : les troupes françaises s’apprêtent à entrer en Ukraine dès l’officialisation d’un cessez-le-feu. Présence terrestre, aérienne, maritime et anti-aérienne, rien n’est laissé au hasard. Ce choix, validé sans réserve par l’état-major, confirme un basculement historique : la France devient acteur militaire direct d’un conflit aux portes de l’Europe.
Le message adressé à Moscou est sans détour : toute attaque contre les soldats français pourrait relever de la dissuasion nucléaire. Une doctrine volontairement floue, qui joue sur l’ambiguïté stratégique pour imposer une pression maximale. Désormais, la “dissuasion élargie” française ne se limite plus au territoire national. Elle s’exporte, s’ancre, se matérialise sur le théâtre ukrainien, avec tous les risques de collision que cela implique face à une Russie qui n’a jamais caché sa propre posture nucléaire.
Cette escalade ne se fait pas en solitaire. Le Royaume-Uni marche aux côtés de la France dans la création d’une “coalition de volontaires”, prête à occuper militairement certaines zones clés. Hors cadre OTAN, mais coordonnée à l’échelle occidentale, cette force de réassurance s’impose comme la nouvelle architecture de guerre européenne. Les casernements se préparent, les itinéraires sont balisés. Et au cœur de cette machine de guerre réinventée : l’armée française, plus exposée que jamais.
Le parapluie nucléaire de Macron est-il devenu un piège stratégique tendu à l’Europe ? Nicolas Stoquer déplie cette réalité sous tension avec des révélations glaçantes, en direct sur Géopolitique Profonde !
