Marotte idéologique du président Macron depuis le début de son mandat, sa résolution de contrôler et de réprimer les “contenus haineux” sur Internet se heurte à un double obstacle, technique et juridique. Mais surtout, elle cache une arrière-pensée moins avouable : la tentative des maîtres de la communication dont il fait partie de ne pas perdre le monopole qu’ils exercent de fait sur l’espace public.
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« Macron et Zuckerberg : les dessous de leur croisade contre les “fake news” » par @Benedetti65 >> https://t.co/0Yn9ydSGwE pic.twitter.com/jI9qN1fZqo
— Valeurs actuelles ن (@Valeurs) 13 mai 2019