Ils ont besoin de célébrités pour faire avancer leur idéologie et leur programme, mais, ces célébrités sont des sacs vides qui par eux-mêmes ne tiennent pas debout seuls, alors, face au criticisme auxquels elles vont être confrontées, rassurons-nous, nos marges de réussite sont conséquentes, bonne lecture :

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Nous parlons beaucoup de l’occident, l’europe, le premier veut dire le couchant, le second les grands yeux, si on synthétise avec amusement le tout de nos jours, ça donnerait, ceux qui vont se coucher pour longtemps, les yeux grands ouverts.

Des rêveurs, des gens trop longtemps nourris de vaines imaginations qui voient lentement émerger sous leurs yeux grands ouverts, les réalités vraies, celles de la fin de leur prééminence comme du rejet de leur influence sur tout ce qui ne leur ressemble pas, bref, une civilisation qui n’a même pas eu le temps d’exister pour rayonner et resplendir, qu’elle ne respire déjà plus normalement.

Nul besoin pour ses adversaires ou ennemis de conquérir ce qui restera d’elle, à quoi bon, ça n’était qu’une chimère à qui il ne reste plus que son corps de chèvre maintenant que sa tête de lionceau et sa queue de dragonnet donnent plus à rire aux autres qu’à paraître invincible comme elle se le formulait jusqu’ici dans ses rêves.
Son ultime rêverie qui est aussi sa dernière folie, avoir cru qu’elle pouvait posséder, l’Afrique, la Chine, la Russie, les Amériques latines, l’Inde, tous les océans et, même les planètes extra-terrestres c’est dire si elle rêvait fort à ne pas pouvoir voir qu’elle avait constitué des ennemis partout et que ses seuls amis, et encore, sont ses semblables.

Il y a moins de quatre-vingts ans, tout ça n’existait pas, sa vilenie s’exerçait férocement sur tous les autres qui n’étaient pas cette soi-disant civilisation, les oligarchies coalisées agressives qui n’étaient pas tendre avec leurs propres populations, peuples, tous aux traditions, mœurs et pratiques diverses, leur faisait croire que la domination qu’elles avaient sur les peuples extérieurs à leur voisinage immédiat relevait de leur pouvoir et leur droit à dominer, la Nature.

La cause de ces oligarchies est dorénavant désespérée, mais elles ne sont pas toujours pas nées à imaginer leur éradication, elles se croient encore redoutables, car elles ont des polices, des armées, des armes, la force de leurs villes nombreuses, des lois, leur amour pour la guerre dont elles croyaient encore récemment en connaître l’art, elles ont leurs caprices, certitudes… Mais, patiemment, sans rien gagner d’autre que la satisfaction du travail accompli, leurs enfants qui ne dorment jamais ont semé au sein de leurs soi-disant idéales productions, la division et la désunion quant à leurs préceptes, instauré la haine envers la morbidité alors que les tourmenteurs privilégiaient celle envers les races et les rivalités permanentes entre les idées.

Aujourd’hui, il faut juste du temps aux choses, celui qui fabrique les passions plus violentes, celles dont relève l’animosité traditionnelle qui excitait les siècles passés, les périodes à venir seront celles des spectacles, de nos spectacles.
Nous avons déjà bouleversé le caprice des alliances faites toujours contre nous, aujourd’hui nul ne sait ce qui sortirait d’un scrutin s’il avait lieu demain, ça glose, mais en vrai, rien n’est établit, tour à tour, du jour au lendemain, tout est est son contraire, c’est qu’il y a désormais un réel contre-pouvoir dont nul n’ose parler tant sa puissance réelle peut s’avérer dévastatrice de part son immaturité.

Des factions qui se méconnaissent, il y en a partout, dans chaque ville, certes, à chaque manifestation on nous laisse croire que l’une d’elle est maîtresse de toutes et est d’une rigueur inexorable, dénuée de scrupules et, contre laquelle les pouvoirs sont impuissants.
Balivernes ! le jour viendra vite où la contestation patriotique unanime va briser l’élan des alliances engagées au soutien des pouvoirs, ce jour-là, les Français découvriront que partout dans ce pays ils sont les seuls à constituer des factions semblables malgré leurs éloignements et leurs différences, elles auront l’appui les unes des autres et mettront à plat la faction fidèle aux pouvoirs, là, ça sera la guerre contre les renégats à cette nation et leurs faux-semblants.

Il faut vomir les tièdes qui prêchent le pacifisme, c’est par la guerre aux factions rivales aux bien-fondés de la France qu’on en arrivera à stopper l’élan actuel galopant vers la guerre mondiale et que nous reprendrons ce qui est à nous, sans aucun dédommagement, de là, nous déploierons les efforts pour approprier chaque individu au nouvel ordre social auquel chacun sera appelé au respect, ceci consiste en une œuvre d’éducation, de là d’où ils sortiront et, surtout, là, où ils ne seront pas allés car nous aurons tous contribué à l’évitement, les Français souscriront.
Quant au reste du monde, n’en doutons même pas, ils nous saluera et emboîtera le pas derrière nous.

Le problème n’est pas de savoir s’il est possible ou pas de vaincre la Russie, c’est combien de temps cela va prendre et disposons-nous de ce temps-là, la réponse est non !
Est-ce que l’Amérique peut s’effondrer avant la Russie, la réponse est oui, quant aux lilliputiens dont les chefs d’États de nos pays ont fait de nous, voyons-nous, nous sommes déjà à terre, que faut-il d’autre pour l’admettre, que les gens crèvent de faim dans la rue, meurent de froid l’hiver prochain chez-eux ?
On coule, mais, le Lupanar, n’en a rien à faire, faudrait peut-être stopper ça, non ?
L’époque dans laquelle nous vivons est critique parce qu’elle est marquée par la désunion, la discorde et la dissolution, la situation n’est pas spécifique à la France, c’est une ambiance générale dans l’ensemble de l’occident, la spécificité de ce genre d’époque c’est l’outrance avec laquelle les pouvoirs agissent contre leurs propres peuples, au nom de n’importe quoi tous les excès nous sont opposés parce que nos soi-disant élus agissent avec nous comme des propriétaires avec leurs esclaves, de sorte qu’on en revient toujours à une organisation sociétale basée sur des normes héréditaires et non fondée sur les capacités réelles de chacun, ce qui revient à dire que le système hiérarchique qui prévalait du temps de la noblesse montre qu’il n’a pas disparu avec les révolutions et les guerres, mais qu’il s’est déguisé pour nous faire croire en une mutation, or, la seule mutation réelle qui soit intervenue dans nos sociétés, c’est l’abolition des droits inaliénables des individus et de la famille, l’abaissement de l’éducation générale et morale qui font toutes deux l’objet de toutes les négligences au bénéfice de principes tordus, le seul espoir que nous ayons réside dans le fait que nous disposons des moyens de communications dont nos maîtres n’ont pas encore trouvé les artifices pour nous les supprimer, car avec ces moyens de communication où peuvent se développer les opinions alternatives, ils ne peuvent plus nous tenir en tutelle durant toute notre vie, là, les gens peuvent à s’instruire par eux-mêmes et s’améliorer et, l’on voit tout de suite la différence profonde du développement qu’ils en tirent, puisque les médias dont on assurait qu’ils étaient le quatrième pouvoir, sont totalement désarçonnés par la puissance collective qui collabore à rétablir la vie des sens autant que la richesse du bien-être pour chacun, qui ne sont après tout que la manifestation du réalisme, et, contrairement à ce que considérait Kant, c’est, non plus comme les choses apparaissaient à nos esprits, mais telles qu’elles sont que nous les voyons et que nous voulons qu’elles soient.

À quoi peut nous servir le progrès matériel qui va beaucoup plus vite que nous sommes prêts à l’appréhender, si, moralement nous ne progressons pas, au contraire, nous régressons ?
Ils ont voulu faire des sociétés des Hommes des systèmes laïcs, d’accord, mais alors, combattons à leur imposer que le paradis des Hommes est, sur Terre.

Sur cette Terre, il n’y a aucun maître suprême qui commande aux « chefs » qu’il s’est donné, de nous indiquer la direction dans laquelle doivent porter nos efforts, ça n’existe pas, en dépit de la certitude de tous ces fouteurs de bazar enfantins, c’est du socialisme despotique ça, certes, toutes les raisons indiquent qu’il est temps de faire sa fête au capitalisme, parce qu’il, il est maintenant temps de forger d’autres concepts philosophiques pour réparer cette société devenue inhumaine.

Le Palot « politique » de l’Élysée va vite découvrir qu’il n’est pas un réorganisateur de société humaine, sa vision apostolique du monde de demain pour les enragés de la finance, va se briser sur l’absence de capacités dont il ne dispose pas et qui se vérifieront dans les mois à venir, il devra se retirer sans aucun prestige car sa soi-disant, présidence, tous les Français en ont conscience, ça n’est qu’un service domestique à ceux qui contrôlent ses décisions dont les utopies sociales désorientent une foule d’esprits, si, le XIXe siècle a vu la construction des grands établissements financiers, ce XXIe siècle va contribuer à leur effondrement.

Ces gens ont le triomphe enfantin car ils ne voient même pas que leur actuelle toute puissance n’est qu’un éphémère qui prélude l’exécution d’autres travaux gigantesques déjà mis en œuvre.
Ces œuvres grandioses à venir par lesquelles s’affirmera le progrès contemporain sont dues à des causes extrêmement profondes dont n’ont pas conscience ces imbéciles heureux, parce qu’ils se croient légitimes et d’essence quasi divine.
Le monde de demain, sera moral et social.
Nous ne partons pas de rien, ce qui n’est absolument pas bon pour l’ensemble de l’humanité, nous en avons quelques notions.