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L’hystérie anticomplotiste touche aussi les domaines scientifiques et universitaires

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Par Wayan – Le 12 juillet 2021 – Le Saker Francophone

L’hystérie médiatique actuelle sur les « théories du complot » contamine les domaines scientifiques et les sciences humaines en particulier. En lisant certains articles de psychologie on s’aperçoit que les psychologues eux-mêmes tombent dans le fameux « biais cognitif de confirmation » qu’ils sont si prompts à repérer chez leurs patients en général et les « théoriciens du complot » en particulier. Quand on voit la paille dans l’œil du voisin…

Pour vous montrer ce phénomène, nous allons analyser un texte publié par la soi-disant très sérieuse British Psychological Society (BPS) car c’est un exemple édifiant montrant que le sérieux et l’objectivité scientifiques disparaissent facilement lorsque les budgets accordés vont dépendre du résultat que l’on attend de la recherche. En d’autres mots, proposez une étude pour montrer les biais cognitifs des partisans de la théorie du complot et vous décrocherez un budget de recherche ; proposez une étude pour rechercher les causes profondes du fait que « Les théories du complot ont bondi au cours des dernières années » et que « 60% des Britanniques croient en une théorie du complot » et vous aurez peu de chance d’en décrocher un.

 

C’est ainsi que l’argent corrompt la science ; pas directement mais par une sélection très politique des projets de recherche scientifique. Et, bien évidemment la psychologie et la sociologie sont dans la ligne de mire des puissants qui veulent contrôler la société. Du coup nous en arrivons à un point où une caricature de science continue de se prétendre « science objective » et où les scientifiques sérieux, c’est-à-dire ceux qui commencent une recherche sans préjugés ni conclusion faite d’avance, sont souvent mis au rencart des universités ou, s’ils percent quand-même, dénigrés par les médias aux ordres ; comme on le voit de plus en plus souvent dans cette période d’inversion totale des valeurs. Le Lancet nous en avait déjà donné un aperçu, il y a peu de temps.

Voici donc ce texte avec, en italique, ma critique des arguments utilisés. Je ne suis pas psychologue, ni scientifique. Cela veut dire que même un amateur peut démonter facilement un texte écrit par la « très sérieuse British Psychological Society » tellement, sous la pression socio-politique, le niveau a atteint celui du caniveau.

Comment parler à un être cher qui croit aux théories du complot ?

Par Emily Reynolds – Le 7 juillet 2021 – Source British Psychological society

Les théories du complot ont bondi au cours des dernières années, comme nous l’avons fréquemment rapporté. Une étude de 2018, par exemple, révélait que 60% des Britanniques croient en une [une seule, mais laquelle ?]  théorie du complot. [il faudrait donc commencer par se poser la question : pourquoi un tel chiffre ?] Parallèlement, la montée de QAnon en Amérique est particulièrement alarmante. [Mais non, BPS préfère faire un parallèle avec une association politique pro-Trump, un Point Godwin à la Trump, dès le premier paragraphe. Très scientifique comme approche.]

Donc déjà deux fautes pour un article scientifique. 1) ne pas donner de définition précise du concept dont vous allez parler, c’est à dire préciser ce qu’est une théorie du complot. 2) mettre toutes les théories du complot dans le même panier. Cela évite de préciser que la gamme va de la plus valide à la plus délirante et permet de TOUTES les classer comme délirantes. Là encore une généralisation indigne d’un article qui se prétend scientifique.

Il est facile de rejeter les théoriciens du complot – mais ce n’est pas une façon productive d’aborder le problème. Au lieu de cela, les chercheurs étudient pourquoi les gens se laissent entraîner dans de tels systèmes de croyance [Premier biais. Pour l’auteure et les chercheurs dont elle parle, une théorie du complot, quelle qu’elle soit, est une croyance qui ne repose sur aucun fait établi et dans laquelle on se « laisse entraîner », comme dans une drogue], même au détriment de leurs relations personnelles. Ces travaux peuvent nous aider à comprendre pourquoi les conspirations se répandent, et nous fournir des conseils utiles pour parler à des proches qui ont peut-être succombé à une théorie du complot. [Et elle insiste bien pour dire que toute théorie du complot est une croyance à laquelle on « succombe », comme à une drogue ou un maléfice. Ce n’est plus de la science, c’est du lavage de cerveau, mais un « lavage scientifique sérieux », isn’t-it ?]

Pourquoi les gens croient-ils aux théories du complot ?

[Peut-être parce que certaines ne sont pas que des « théories » ? Mais non, cette évidente hypothèse ne sera pas envisagée]

Il existe un certain nombre de raisons pour lesquelles une personne peut être attirée par une théorie du complot, souvent liées à des besoins psychologiques frustrés [pour nous mettre « scientifiquement » les points sur les i].

« Le premier de ces besoins est épistémique, lié au besoin de connaître la vérité et d’avoir une clarté et une certitude », explique Karen M. Douglas, professeur de psychologie sociale à l’université du Kent. « Les autres besoins sont existentiels, qui sont liés au besoin de se sentir en sécurité et d’avoir un certain contrôle sur les choses qui se passent autour de nous, et sociaux, qui sont liés au besoin de maintenir notre estime de soi et de se sentir positif par rapport aux groupes auxquels nous appartenons. » [« Connaître la vérité, besoin de sécurité, contrôle des évènements, maintenir l’estime de soi et se sentir positif ». C’est une description que pourrait caractériser 99% des gens sains d’esprit et non pas une caractéristique propre aux « théoriciens du complot »]

Ainsi, par exemple, si une personne est angoissée par la pandémie et se sent perdre le contrôle, elle peut être attirée par des théories qui suggèrent qu’elle est fausse, satisfaisant ainsi ses besoins existentiels. [Il n’y a pas de théorie du complot prétendant que la pandémie est fausse. Ce sont certains politiques occidentaux qui, au tout début, ont préféré la minimiser. Donc argument de mauvaise foi ou ignorance du sujet, juste pour tordre la réalité et la faire coller à l’hypothèse. Quant aux antivaccins que les médias traitent de complotistes, ils ne sont pas « angoissés par la pandémie », c’est bien pour cela qu’ils jugent que la vaccination ne devrait pas être obligatoire. On remarque d’ailleurs ici la glissade sémantique, traiter d’antivaccins des gens qui réclament simplement le libre choix à la vaccination.]  Si elle est frustrée par une situation particulièrement politique, elle peut commencer à explorer des solutions apparemment claires à des questions sans réponse [la politique n’est pourtant pas de la métaphysique, il y a toujours une réponse à la question, si l’on se donne la peine d’enquêter. Et si la réponse n’est pas claire, alors il est normal d’être sceptique], satisfaisant ainsi ses besoins épistémiques.

Il existe également de nombreux facteurs de risque liés à la pensée complotiste : les théories du complot peuvent être alimentées par le désir de se sentir spécial ou par l’apathie politique, par exemple. Les personnes ayant un faible niveau d’esprit critique sont également plus susceptibles de croire aux théories du complot, comme l’explique Stephan Lewandowsky, coauteur d’un récent manuel sur la théorie du complot et titulaire d’une chaire de psychologie cognitive à l’université de Bristol. [il semble pourtant, intuitivement, que c’est parce que l’on a l’esprit critique que l’on cherche une explication aux comportements souvent peu rationnels des dirigeants. On ne se contente pas de croire béatement qu’ils œuvrent pour le bien public alors que tant de faits nous démontrent le contraire.]

Ceux qui adhèrent aux théories du complot sont « généralement des personnes qui pensent que l’intuition est un meilleur moyen de connaître la vérité que les données – des personnes qui pensent que leur intuition leur dit ce qu’il faut croire et qui n’ont pas besoin ou ne veulent pas de preuves pour prendre une décision », dit-il [Ha bon, alors que ceux qui repoussent tout fait officiellement étiqueté « théorie du complot » le font en se basant sur des faits et non pas sur une intuition ou une croyance ? L’histoire nous montre pourtant le contraire]. « Ils n’ont pas un niveau sain de scepticisme ». [Voilà un nouveau concept très scientifique, le « niveau SAIN de scepticisme »].

Les théories du complot, de par leur nature, sont également « auto-étanches », ce qui signifie que les preuves ne peuvent pas être utilisées pour les réfuter – l’une des raisons pour lesquelles elles sont si difficiles à contrer. « L’absence de toute preuve est considérée comme une preuve de la théorie », explique Lewandowsky. « Pour vous donner un exemple, quelqu’un a prétendu l’année dernière sur YouTube qu’Anthony Fauci versait personnellement de l’argent dans un laboratoire à Wuhan. Lorsque l’intervieweur a dit qu’il n’y avait pas de preuves, elle a répondu : « Vous voyez, c’est à ce point que la dissimulation est bonne. Il n’y a pas de preuves parce qu’ils couvrent si bien les choses ». [Alors là l’exemple tombe à point, et à l’eau, puisque Fauci a été lui-même obligé de reconnaître un lien entre ce laboratoire et lui. Nous attendrons pourtant longtemps toute rétractation de la part de cet éminent « titulaire d’une chaire de psychologie cognitive à l’université de Bristol »]

Comment parler à quelqu’un qui croit aux théories du complot ?

Dans un monde idéal, nous empêcherions les théories du complot de prendre racine en premier lieu. [et le meilleur moyen d’atteindre cet idéal ne serait-il pas justement de dénoncer les complots au lieu de dénoncer les lanceurs d’alerte ?] Comme le font remarquer Douglas et son collègue Daniel Jolley dans leur étude sur le mouvement antivaccins, l’ »inoculation » peut empêcher l’influence des théories du complot pour commencer.

Ils ont constaté que les arguments anti-conspiration augmentaient l’intention de vacciner un enfant lorsqu’ils étaient présentés avant les théories de la conspiration. Mais une fois que ces conspirations étaient établies, il était beaucoup plus difficile de les corriger, même avec des arguments qui étaient factuels et semblaient logiques.

Parler à quelqu’un avant qu’il ne s’immerge dans le monde des théories du complot pourrait donc être un moyen de l’en empêcher complètement – ce que Lewandowsky et d’autres auteurs appellent le « prebunking » [ou, dans un langage moins politiquement correct, « propagande préventive »]. Comme l’a écrit David Robson dans The Psychologist l’année dernière, il ne s’agit pas seulement de présenter de nouvelles informations, mais plutôt d’encourager les gens à faire preuve d’esprit critique et de les armer de techniques de protection contre la désinformation [Excellente initiative pour les entraîner à repérer celle qui inonde les médias grand public]. (Le jeu « Bad News », mis au point par des chercheurs de l’université de Cambridge, est un exemple d’intervention axée sur la pensée critique).

Il n’est toutefois pas facile de dissiper une théorie du complot une fois qu’elle est bien ancrée. « Lorsque les gens croient à quelque chose de si fort, il est difficile de les faire changer d’avis », explique M. Douglas. [Tout comme il sera difficile pour Mr Douglas d’admettre que de nombreuses théories du complot se sont avérées des réalités, comme pour l’exemple précédent de Fauci »]. Les gens sont très doués pour sélectionner et interpréter les informations qui semblent confirmer ce qu’ils croient déjà, et pour rejeter ou mal interpréter les informations qui vont à l’encontre de ces croyances. » [À qui le dis-tu]. [C’est d’ailleurs ce qui s’appelle un “biais de confirmation », biais cognitif qui touche tout le monde, le professeur Douglas y compris. Le psychologue qu’il prétend être devrait le savoir mais les cordonniers sont toujours…].

Mais comme l’écrit l’universitaire Jovan Byford dans The Conversation, « les théories du complot sont sous-tendues par des sentiments de ressentiment, d’indignation et de désenchantement à l’égard du monde ». [Certes, et il y a souvent de quoi]. Il est donc important de comprendre les émotions qui peuvent se cacher derrière les fausses croyances de quelqu’un, et d’essayer de faire preuve d’empathie à son égard. [Les « théoriciens du complot » sont donc des gens malades ayant des « fausses croyances » alors que celles de Jovan Byford ne peuvent être que vraies. En bon psychologue il faut avoir pitié d’eux, les pauvres].

Une étude publiée dans Personality and Individual Differences au début de l’année a révélé que les personnes qui épousent les théories du complot autour de la Covid-19 sont plus susceptibles de ressentir de l’anxiété, tandis qu’une autre a révélé que de nombreux théoriciens du complot ont également le sentiment de n’avoir que peu de contrôle sur leur vie ou sur les situations politiques dans lesquelles ils se trouvent. [Ce qui est totalement logique puisque depuis le début de cette pandémie la population baigne dans un climat médiatique anxiogène et les gouvernements nous empêchent de vivre librement et donc nous font perdre le contrôle de notre vie].

Douglas souligne que les personnes croyant aux conspirations peuvent se sentir « confuses, inquiètes et aliénées ». Il serait donc contre-productif de se comporter de manière hostile ou de les ridiculiser. « Cela ne fait que rejeter leur point de vue et risque de les aliéner encore plus et de les pousser davantage vers les théories du complot », dit-elle. « Il est important de garder son calme et d’écouter ». « Tout est une question d’empathie », convient Lewandowsky. « Ridiculiser les gens n’aide pas – et il y a des preuves qui suggèrent que vous ne devriez pas le faire ». [C’est le cas pour toute argumentation intellectuelle et pas seulement spécifique aux « théoriciens du complot »]

Comme toute personne ayant eu une conversation familiale tendue sur la politique pourra en témoigner, il peut être difficile de ne pas répondre de manière combative si vous êtes fondamentalement en désaccord avec la façon dont quelqu’un voit le monde. Mais une étude de la Harvard Business School, publiée dans Organizational Behavior and Human Decision Processes, suggère qu’il est préférable d’être réceptif.

L’équipe, dirigée par Mike Yeomans, soutient que la « réceptivité conversationnelle » est essentielle pour désamorcer les conflits : si vous parlez à quelqu’un d’une manière qui indique que vous êtes réceptif à ses opinions et à ses croyances, il est plus probable qu’il soit persuadé par les vôtres.

De simples phrases telles que « Je comprends que… » ou « Ce que vous dites est… » peuvent donc combler le fossé qui vous sépare de quelqu’un dont les opinions sont totalement différentes – et même si cela ne signifie pas qu’il désavoue une croyance conspirationniste, cela peut aider une relation à rester amicale et non antagoniste. [en bref, Le b.a. ba de toute bonne communication]

Pouvoir et objectif

Comme le souligne Lewandowsky, donner du pouvoir aux gens peut aussi aider à combattre la pensée conspirationniste. Comme nous l’avons vu, la croyance dans les théories du complot est étroitement liée à un sentiment d’impuissance – il s’ensuit que le fait d’instiller un sentiment de contrôle pourrait aider à repousser le conspirationnisme.

À un niveau personnel, les gens peuvent être responsabilisés par des interventions qui encouragent la pensée analytique et qui leur rappellent les moments où ils avaient le contrôle. Dans une étude, par exemple, les participants à qui l’on a demandé de se souvenir d’une situation dans laquelle ils avaient le contrôle étaient moins susceptibles de croire à une théorie du complot que ceux à qui l’on a demandé de se souvenir d’une situation dans laquelle ils n’avaient pas le contrôle. De telles approches peuvent vous aider à atteindre une personne qui vous est chère. [Rappelle-toi, chérie, de l’époque ou voter voulait encore dire quelque chose. Ça y est, ça va mieux ? Alors maintenant tu ne crois plus que certains ont comploté pour nous imposer Macron ?]

« L’une des choses que l’on peut faire est de redonner aux gens le sentiment d’avoir le contrôle de leur vie », explique M. Lewandowsky. « L’une des raisons pour lesquelles les gens deviennent des théoriciens du complot est qu’ils ont l’impression d’avoir perdu le contrôle de leur vie et qu’ils ont peur – c’est l’une des raisons pour lesquelles une pandémie déclenchera davantage ce type de pensée, parce que les gens ont perdu le contrôle de leur vie. »

« C’est donc une façon indirecte d’y parvenir – n’essayez pas de convaincre quelqu’un de ne pas le faire, mais faites en sorte qu’il se sente bien d’être en charge de sa vie. Ensuite, ils peuvent progressivement abandonner, parce qu’ils n’en ont plus besoin. »

Cela ne veut pas dire qu’il sera toujours possible de désabuser quelqu’un de ses croyances. « Les croyants purs et durs qui sont vraiment au fond du terrier du lapin… ils sont extrêmement difficiles à atteindre », dit Lewandowsky. Il est également important de protéger votre propre bien-être lorsque vous avez des conversations qui peuvent être frustrantes ou dérangeantes. Mais traiter les personnes qui croient aux théories du complot avec empathie et calme peut être le premier pas vers une conversation productive.

Fin de l’article

[Le monde selon BPS serait donc partagé entre « les théoriciens du complot », et les autres, les « gens sain d’esprit ». Le fait est que le concept de « Théoricien du complot » reste non défini et tellement vague qu’il permet englober tout opposant politique à l’ultralibéralisme c’est-à-dire ceux qui pensent :

Que la majorité des politiques occidentaux sont en accointance avec les grosses fortunes pour leur permettre de continuer à s’enrichir au dépend de la population, qu’ils « complotent contre la population », 

que l’Establishment washingtonien a comploté pour virer Trump,

que l’Union Européenne cherche à imposer le système ultralibéral à des populations qui n’en veulent pas,

que l’Union Européenne laisse volontairement entrer des immigrés clandestins alors qu’il est si difficile d’obtenir un visa Schengen officiel,

que Macron a été imposé par les ploutocrates français et n’est pas le résultat d’un processus démocratique qui a été complètement perverti,

que la vaccination forcée sert avant tout à enrichir certaines sociétés pharmaceutiques occidentales et à engranger les données personnelles de toute la population pour alimenter les Big Data…

Enfin, pour rappel, il y a quelques mois, affirmer que le coronavirus était sorti d’un labo était notoirement complotiste, désormais c’est la version officielle

La liste des manipulations anti démocratiques est très longue, pourtant, selon les articles relayés par la « très sérieuse British Psychological Society », les arguments de ceux qui pensent cela ne reposent sur aucun fait, ils sont donc des « théoriciens du complot ».

Le niveau de décrépitude mentale, ou de malhonnêteté intellectuelle, de nombreuses institutions scientifiques atteint des sommets à la hauteur de la décadence de nos sociétés.]

Traduit et critiqué par Wayan pour le Saker Francophone.

A LA UNE

1 COMMENTAIRE

  1. Quand la propagande va loin…
    La plupart des théorie du complot s’avèrent vrai puisqu’elles reposent sur des faits…
    Du nuage de Tchernobyl, aux pesticides, aux particules fines (surtout des diesels), etc. Maintenant on voit que ça touche la médecine.
    Faudrait réinformer mais pas de la manière qu’il préconise et surtout pas par les puissants eux-même.
    Ils essaient de palier au non contrôle d’internet (qui risque de ne plus le rester :'().

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