Dans ses vœux annuels à la presse, Emmanuel Macron a exprimé son opinion sur certains médias: «Nous laissons des acteurs de propagande financés par des régimes autoritaires étrangers –qui ne répondent en rien à un régime de responsabilité ou d’éthique journalistique– informer et participer au débat en tant que journalistes», a-t-il dénoncé. Une posture reprise aujourd’hui par la plupart des pays occidentaux. Analyse du chercheur François-Bernard Huyghe pour Le Désordre mondial.
Les censeurs publics et privés «démocratiques» s’attaquent aux médias étrangers
L’Hôpital qui se fout de la Charité, ou l’inversion de la charge de la preuve: du Micron pur jus!