Jacques Attali orchestre un basculement stratégique sans précédent : il appelle à une transformation radicale de l’Europe vers une véritable économie de guerre. Mentor d’Emmanuel Macron, il plaide pour un réarmement total, une production massive d’armes et une mobilisation permanente. Son objectif : faire de l’Union européenne une puissance militaire sous commandement unique, avec un budget porté à 4% du PIB. L’Ukraine, considérée comme « l’une des meilleures armées du continent », doit être intégrée au cœur de cette nouvelle défense européenne.
Cette montée en puissance s’appuie sur une rhétorique de la peur savamment orchestrée. Attali dresse un tableau apocalyptique : la Russie serait sur le point d’engloutir l’Europe, tandis que Trump, assimilé à Hitler, menacerait de « détruire Bruxelles ». Loin d’être une analyse objective, cette vision sert à imposer une militarisation forcée et à verrouiller toute contestation. L’OTAN et les instances supranationales deviennent les seuls garants de la sécurité, et toute alternative est immédiatement disqualifiée.
Macron n’est-il qu’un simple exécutant d’un agenda dicté en coulisses ? Son discours sur la menace russe reprend mot pour mot les éléments d’Attali. Plus qu’une anticipation des conflits, c’est un véritable alignement sur les intérêts des complexes militaro-industriels. Loin de protéger les peuples européens, cette fuite en avant les précipite dans un engrenage guerrier où la souveraineté des nations est sacrifiée au profit d’une technocratie belliciste.
Qui orchestre réellement ce virage militariste, et dans quel but ?
Nicolas Stoquer vous dévoile les dessous de ce plan explosif en direct sur Géopolitique Profonde.