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Le conseil mondial de l’OMS dicte très officiellement la conduite sanitaire des pays signataires dont la France

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Une des réflexions les plus fréquentes des internautes pour tenter de justifier les aberrations mortifères qui nous sont imposées par notre gouvernement est que les autres pays font comme nous et de citer le Canada, l’Australie ou la Nouvelle-Zélande ! Pourtant ces pays introduisent des méthodes totalitaires qui font frémir, et complètement dénuées, à l’évidence, de raison sanitaire sollicitant nos interrogations. Pourquoi ?

 

Les personnes normales, honnêtes, de bon sens ne peuvent pas croire que des puissances occultes dicteraient leur politique à notre chef d’État, aux Italiens, Espagnols ou Belges qui imposent des lois liberticides ruinant leurs peuples, et qui continuent malgré les échecs patents de leur politique sanitaire. C’est vrai, ces puissances ne sont pas occultes, sinon occultées, et le gouvernement mondial de la santé est une réalité que nous avons accepté et validé par des traités, cachés au peuple car non médiatisés.

Amar, sur Le Saker francophone, qui nous inspire cette chronique, nous donne les éléments d’information objectifs nécessaires pour comprendre enfin le comment et peut-être le pourquoi, commente l’attitude de nos grands et honnêtes médecins :

« Monsieur Peronne fait radicalement fausse route comme d’ailleurs la plupart « des gens normaux » qui pensent que Boris Johnson s’est retrouvé à côté de la plaque ou encore qu’Agnès Buzyn et son Comité scientifique « se sont retrouvés dépassés ».
En réalité, les gouvernements de la planète n’ont commis aucune erreur, même si c’est ce que l’on voudrait bien nous faire croire. Ils n’ont fait que suivre les consignes qui leur étaient données par le Conseil mondial, lequel est sous l’emprise totale des eugénistes et malthusiens tels que Bill Gates ou David Rockefeller ».

 

Le conseil mondial de l’OMS

194 États dans le monde ont ratifié le Règlement sanitaire international (RSI – 2005) de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

Ce règlement prévoit : « En cas de crise sanitaire majeure, tous les États membres s’engagent à respecter toutes les consignes émanent du Conseil mondial et à faire en sorte que toutes ces consignes priment sur les lois et les codes juridiques des États ».
Et il semble bien que ce soit exactement ce qui s’est passé et continue plus ou moins à se passer, car quelques États ont néanmoins résisté comme la Suède, les Pays-Bas et la Biélorussie.

 

Règlement sanitaire international (2005) (RSI)

Cet instrument contraignant de droit international est entré en vigueur le 15 juin 2007.

« En réponse au développement exponentiel des voyages, du commerce international et de l’émergence de maladies et d’autres risques pour la santé, 194 pays à travers le monde ont convenu de mettre en œuvre le Règlement sanitaire international (2005). »

L’objet et la portée du RSI (2005) consistent à « prévenir la propagation internationale des maladies, à s’en protéger, à la maîtriser et à y réagir par une action de santé publique proportionnée et limitée aux risques qu’elle présente pour la santé publique, en évitant de créer des entraves inutiles au trafic et au commerce internationaux ».

Cette deuxième édition du règlement est publiée par l’OMS et téléchargeable. Elle contient le texte du RSI (2005), le texte de la résolution WHA58.3 de l’Assemblée mondiale de la santé, la version actualisée des questions sanitaires de la Déclaration générale d’aéronef ainsi que des appendices dont la liste des États-Parties, leurs réserves et autres communications.

Ainsi quand nous sommes surpris, scandalisés par des décision abruptes prises sans débats nationaux ou internationaux, nous ne devons pas nous étonner, ce qui ne veut pas dire ne pas résister. Par exemple le Parlement européen a promulgué une loi extrêmement dangereuse le 10 juillet 2020 afin de légaliser la vaccination des individus en leur inoculant des OGM et des nanoparticules lipidiques dont on ne sait absolument rien et en contredisant le moratoire OGM précédemment adopté.

 

Comment organiser, planifier des crises dont l’oligarchie au pouvoir bénéficiera parfois de façon majeure (sauts qualitatifs)     La crise que nous vivons n’est pas tombée du ciel et Satan n’y est pour rien (sauf si on le croit incarné). Les extraterrestres non plus qui n’ont pas déversé une tonne de coronavirus sur Wuhan ni Bergame. Surtout que les croyants aux hommes venus d’ailleurs les croient suprêmement intelligents, et là, vraiment, ils se seraient plantés largement car notre corona19 n’a pas réussi à tuer plus de 1,2 million de personnes (sur presque 8 milliards), moins que certaines grippes du passé (grippe asiatique) qui n’avaient entrainé aucun confinement, ni arrêt des soins ordinaires, ni blocage de l’économie.

 

L’homme en revanche y est quasiment pour tout

« Les crises ne sont bien souvent rien d’autres que des zones d’incertitudes, de risques et d’opportunités dans lesquelles ceux qui maîtrisent les événements et le temps, réalisent de formidables sauts qualitatifs. Ce qui veut bien dire que les crises sont délibérément organisées et déclenchées à des fins précises et aux moments voulus. »

Dans la réflexion, la planification, l’organisation, le contrôle des médias, la manipulation génétique, la recherche d’armes biologiques et bactériologiques, la dissémination délibérée d’un virus ou derrière un lockstep économique et un lockdown des populations, l’homme est partout. Il pense à tout. Qu’il s’agisse du conditionnement éducatif de nos enfants, de la manipulation des foules, de la répression et de l’intimidation des groupes de prostestataires comme ce fut le cas en France avec les Gilets jaunes ou qu’il s’agisse de terrorisme affectif, l’homme pense vraiment à tout. »

Telle est l’analyse convaincante d’Amar dans Le Saker francophone. Évidemment, comme tous ces exemples semblent illogiques, nous avons tendance à ne pas y croire. Les dirigeants ont une méthode implacable pour nous faire prendre pour de l’incompétence ou de l’improvisation les non-sens quotidiens, voire pluriquotidiens, auxquels nous assistons. Sans revenir sur tous les « gags » apparents du gouvernement depuis des mois, ne citons que le plus en mémoire chez chacun d’entre nous en raison du délire actuel chez les enfants, le port du masque d’abord inutile, voire interdit d’achat dans les pharmacies, puis impossible à porter (même notre Sibeth n’y arrive pas ) pendant l’épidémie, puis en sautant les étapes, devenu obligatoire en septembre alors que l’épidémie est terminée selon toutes les statistiques sérieuses et non la communication du gouvernement qui change d’indice au fur et à mesure que le précédent ne peut plus convaincre. On passe ainsi du nombre de décès au nombre d’hospitalisés, puis de malades, puis de contaminés (évalués sur tests PCR non fiables mais qu’importe) et même au nombre de consultations aux urgences pour angoisse Covid). Ils sont très efficaces dans l’imagination du trompe-l’œil mais c’est leur véritable métier.

 

Non-sens par bêtise ? Non, par stratégie connue depuis la haute antiquité : la dissonance cognitive

Comment arrivons-nous à avaler tous ces mensonges contradictoires d’une heure à l’autre, voire d’une chaine à l’autre si on zappe de désespoir ? « La naïveté des hommes est sans limite ». Et le baratin quotidien dont je vous ferai grâce ici pour prétendument « sauver des vies ».

« Qu’importe que ceux qui nous aiment et qui ne vivent maintenant que pour voir leurs petits-enfants grandir, meurent de solitude, de stress et d’angoisse, de soif, d’abandon ou de désespoir, l’important est que vous, vous ne soyez pas responsable de leur mort. » Et rentrez-vous bien cela dans la tête ou sortez d’ici, comme a dit Véran aux députés siégeant dans leur hémicycle le 3 novembre 2020. Une description éculée d’un malade en réanimation (comme déjà utilisée par Roselyne Bachelot, qui voulait nous vacciner de force pour cause de H1N1). Curieux dans sa bouche, comme s’il n’était jamais entré dans une chambre de réa auparavant… Qui sait ?

Nous avons tous assisté à ces contradictions visibles ou volontairement cachés. D’un traitement manifestement efficace venu de Marseille et déjà utilisé dans le monde entier, l’hydroxychloroquine, reconnu en 2003 comme extrêmement efficace contre les coronavirus par le Dr Fauci, le directeur du CDC américain, à la décision infâme, liberticide et mortifère du Dr Veran le 27 mars 2020, d’interdire le traitement des patients atteint de la Covid-19 par hydroxychloroquine.

Il a basé son décret sur l’étude truquée de la revue The Lancet et alors que les responsables de cet article ont reconnu leur erreur/leur tricherie et la revue retiré l’article. Le gouvernement persévère et va jusqu’à bloquer les livraisons du produit à Marseille par Sanofi. Le labo demande au ministre des instructions pour livrer un médicament sur le marché en vente libre depuis 70 ans. Qui décide, Véran ou Sanofi ? En tous cas la dissonance bat son plein, le but est atteint. Et tant pis pour les malades. Il faut des morts pour alimenter la propagande de la terreur.

Comment obtenir la soumission de la quasi-totalité des citoyens du monde ?

Amar cite Nicholas Butler et son terrible constat :

 « Le monde se divise en 3 catégories : un très petit nombre qui fait se produire les événements, un groupe un peu plus important qui veille à leur exécution et les regarde s’accomplir, et enfin une vaste majorité qui ne sait jamais ce qui s’est produit en réalité ».

L’homme de pouvoir et de contrôle souhaite tout contrôler et surtout quand il s’agit de contrôler l’avenir et l’évolution démographique et génétique de notre espèce. L’opération Covid-19 pourrait effectivement bien être une pure opération d’ingénierie sociale, comme les événements passés même relativement récents peuvent nous en convaincre.

Or on ne peut pas comprendre la crise de la Covid-19, sans le contextualiser dans le temps long, le voir comme l’étape d’un programme mondialiste plus global et plus complexe.

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