« Aujourd’hui, l’ASE sous-traite les décisions concernant les placements des enfants à des organismes privés qui sont rémunérés au nombre d’enfants placés. Chaque enfant placé génère un profit pour ces organismes privés mais aussi pour l’ASE. On parle d’un véritable trafic. »
Marc Daoud, directeur de publication de Nexus, pointe du doigt le business malsain autour de l’Aide sociale à l’enfance.
Retrouvez notre enquête complète sur le sujet dans notre numéro 1⃣4⃣8⃣👇