A Paris, devant l’Hôtel de Ville, le micro a capté la parole libre d’un peuple en rupture avec ses élites. Ici, pas de discours policés ni de revendications aseptisées : les mots claquent comme des gifles. Haute trahison, régime illégitime, manipulation médiatique, la colère est frontale et profonde. Les citoyens dénoncent un pouvoir qui s’éloigne du peuple pour se mettre au service de logiques guerrières et financières opaques.
Ils réclament la paix, mais surtout la destitution. Car selon eux, Emmanuel Macron ne gouverne plus, il entraîne. Et c’est vers le chaos qu’il les pousse. Une guerre contre la Russie jugée artificielle, pensée comme une diversion stratégique au profit d’intérêts économiques. BlackRock est cité, les médias sont accusés, et la démocratie elle-même est remise en question.
La République ? Une façade. Le Parlement ? Un théâtre. L’opposition ? Absente. Dans ce vide institutionnel, la rue devient alors le dernier rempart, le dernier souffle d’un peuple qui ne veut pas mourir en silence. La mobilisation s’organise, les voix s’élèvent, lucides, déterminées, révoltées.
Et si ce que vous pensiez être un simple rassemblement citoyen était en réalité l’écho d’un basculement bien plus vaste ?
Retrouvez Francis Lalanne et les manifestants au micro de Mike Borowski, sur GPTV Investigation.
