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Interview du Docteur Fouché Pfizer Gate il BALANCE TOUT

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Qu’est-ce que vous pensez du Pfizer Gate ?

Il y a beaucoup de gens qui ne savent peut-être pas ce que c’est, il a été passé sous silence par les médias dominants de manière très importante.

Le Pfizer Gate, ce sont des lanceurs d’alerte qui ont publié, dans le British Medical Journal de Karman Abbasi et Peter Doshi, un article montrant que, finalement, dans les essais de phase deux et phase trois de Pfizer, il existait une prestation de service fournie par une entreprise sous-traitante Ventava, des correspondances directes avec la Food and Drug Administration, c’est-à-dire en gros la super ANSM américaine, un très gros organisme en charge de dire si oui ou non un médicament a le droit d’être utilisé, et que finalement il y avait des manquements graves dans la méthodologie et la recherche.

Ces manquements graves de l’entreprise sous-traitante Ventava consistaient en un non recueil de certains évènements indésirables et une absence des moyens nécessaires au recueil des effets indésirables.

Finalement, ça biaise totalement les résultats.

De même, il y avait des manquements graves dans les lots utilisés et dans la stabilité des différents lots, et savoir s’il y avait une homogénéité dans les produits utilisés par Pfizer.

Il y a d’autres considérations encore sur le monitoring des datas, c’est-à-dire comment elles ont été corrigées , comment elles sont restées.

Ça vous dit quelque chose en fait, ce que j’en pense, c’est que, en gros, les grandes multinationales aujourd’hui se mettent dans les clous du formalisme scientifique, c’est-à-dire, font des études tout comme il faut, en très bon élève en apparence.

Mais que l’enjeu pour eux n’est absolument pas que ce soit vrai, que ça corresponde à une réalité.

L’enjeu, pour elles, est de passer le contrôle, d’être dociles à l’exercice. Comme peut-être Volkswagen savait que les moteurs produisaient du CO2 ou certains polluants et en gros, truquait la machine à monitorer…

Là c’est exactement pareil, c’est-à-dire qu’il y a des gens qui disent « allez, c’est bon, on est sur les clous, il y a 7 milliards de gens à vacciner, les gars, allez on bosse on bosse… ».

Et en mettant la pression à tout le monde, quitte à ce qu’il y ait des manquements graves et que, finalement, on n’ait pas du tout fait ce qu’il fallait en terme de prudence et de sécurité parce qu’il y a tellement d’argent en jeu, que aller, il faut qu’on soit les premiers, on y croit, nous on a des mecs qui bossent, on a des mecs qui sont en train d’aller soudoyer des politiques, d’autres qui sont en train de soudoyer les médias, on est prêt , vous allez voir, vous allez voir ce que vous allez voir sur le Covid et peut-être même qu’ils y croient, et même qu’ils pensent que leur produit est tellement bon qu’il va sauver le monde.

Ça, je ne fais pas de procès d’intention là-dessus.

Par contre, ils sont incapables de regarder la réalité en face, de ce qu’est leur produit.

Et ils vont mettre, sous le tapis, des choses extrêmement graves.

Ces manquements-là devraient nous rendre prudents, c’est-à-dire que chaque fois que vous avez une annonce ministérielle gouvernementale, par la Food and Drug Administration, par l’ANSM, par un laboratoire, bah c’est fait pour faire augmenter les cours, c’est pour que vous soyez sûr que ça marche ou que ça ne marche pas.

Et en gros, vous servez de cobaye, et ça c’est inacceptable parce que, normalement, quand on commercialise un produit, il se doit d’être sûr !

Surtout une vaccination, pour des jeunes, un produit pour une maladie qui ne fait jamais de forme grave.

Les gens de moins de 50 ans ne font pas de forme grave ou très très peu.

C’est-à-dire que pour tous ces gens-là, vous devriez avoir un niveau de sécurité du traitement qui ne devrait jamais faire mourir. Il ne devrait pas y avoir un seul mort, il ne devrait pas y avoir un seul effet indésirable grave, sinon ce ne serait pas supportable en terme de balance bénéfice-risque.

Sciemment, ils mentent sur la balance bénéfice-risque pour fourguer leurs produits à un maximum de monde.

Les multinationales du médicament ne sont pas des bienfaitrices, elles vivent sur le fait que vous êtes malades et que vous êtes des cobayes pour elle, et du bétail.

Ça n’empêche pas parfois qu’ils peuvent donner des médicaments qui peuvent être bien et utiles. Ce n’est pas antithétique.

Mais ça veut dire que nous, on doit être prudent, et ça c’est peut-être la conclusion que je pourrais faire, je peux aller dire que Pfizer ce sont des salopards.

Cherchez combien ils ont eu de milliards de condamnations pour falsification de données, publicité mensongère, Commission occulte…

J’ai un exemple en tête, aux États-Unis en 2009, Pfizer a été condamné à 2,3 milliards de $ pour ces faits-là, commission occulte, falsification de données, publicité mensongère…

Commission occulte, c’est donner de l’argent aux décideurs qui aident à fourguer le produit.

Vous croyez qu’il se passe quoi pour ces vaccins ?

Pourquoi le vaccin russe ou le vaccin chinois, eux, n’ont pas le droit au pass sanitaire en France ?

Qui est-ce qui décide ça ?

Vous croyez vraiment que c’est juste en fait ?

Vous croyez que c’est vraiment lié à la balance bénéfice-risque de chacun de ces vaccins et à leur efficacité réelle ?

Vous croyez que c’est lié à de la corruption ?

Bien sûr que c’est lié de la corruption !

Après, le dire ne change rien, ça va peut-être nous faire plaisir pendant deux minutes parce que vous n’avez pas d’outils pour lutter contre.

Mais l’outil pour lutter contre, c’est le retournement sur soi-même.

C’est dire, maintenant que je sais tout ça, il faut que je prenne ma décision en conscience.

Est-ce que j’accepte une clé de bras dans le dos, est-ce que j’accepte un chantage à ma liberté, un chantage à mon appartenance sociale, ou est-ce que je suis conscient que, si je commence à rentrer dans un chantage, je n’en sors jamais ?

Moi, je crois que c’est maintenant qu’il faut dire non en fait !

La puissance du non est inarrêtable.

La réalité est que si tous ensemble on dit non, c’est qu’on arrête de penser que d’un côté il y a des anarchistes, des écolos, des islamo- gauchistes et que l’on joue la narration, on sera toujours divisés en fait.

Mais, si jamais on se réconcilie et qu’on dit, pour nous, ce qui est important, c’est la liberté, ça nous aide à savoir ce qu’on veut.

Ce qu’on veut, c’est se soigner correctement, et arrêter d’être dépendants de multinationales qui cherchent à nous rendre malades.

Rien que ça c’est extrêmement unifiant pour le groupe.

Et on est capable de dire non, je peux vous assurer que 15 à 20 %, ça suffit largement à changer le monde…

 

PARTIE 1 :

https://www.youtube.com/watch?v=ecccxxfjj54

PARTIE 2 :

https://www.youtube.com/watch?v=Hefv35YfaBU

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