La radiation du général André Coustou marque un tournant décisif dans la gestion autoritaire du pouvoir macroniste. Officiellement écarté pour manquement au devoir de réserve, cet ancien haut gradé est en réalité sanctionné pour avoir dénoncé le déclin stratégique, moral et identitaire de la France. Ce que les médias appellent une mesure disciplinaire est en fait une opération politique visant à étouffer toute voix dissidente au sein des institutions.
L’armée française est désormais soumise à une pression sans précédent. Toute critique du gouvernement, même émise par des généraux en retraite, est immédiatement réprimée. Le pouvoir cherche à transformer une armée d’honneur en une force servile, muette et obéissante. À travers le cas Coustou, c’est toute une structure de résistance intellectuelle et patriotique que l’État tente de démanteler.
Le devoir de réserve devient une arme politique. Il ne protège plus l’institution militaire, il musèle la pensée libre. Le général Coustou, qui avait mis en garde contre la dégradation rapide de notre souveraineté, voit sa carrière effacée d’un trait de plume. Cette radiation envoie un message clair : dans la France de Macron, le patriotisme est devenu un délit.
En neutralisant une figure respectée des forces armées, le régime expose ses failles : peur de la vérité, refus du débat, obsession du contrôle. L’armée n’est plus un rempart républicain, elle devient un instrument du pouvoir. Mais la colère monte dans les rangs. Et si la prochaine fracture ne venait pas de la rue, mais de l’intérieur même de l’institution militaire ?
La radiation du général Coustou n’est pas une affaire isolée, c’est le révélateur d’un système qui vacille. À mesure que le pouvoir durcit le ton, les tensions internes deviennent explosives. Et la question n’est plus de savoir si le système tombera… mais quand.
Un général radié pour avoir dit la vérité, un président qui redéfinit la démocratie… Mike Borowski analyse les dessous de cette crise, en direct sur GPTV !