Une loi sur la fin de vie s’apprête à bouleverser la France : sous le terme aseptisé d’« aide à mourir », le suicide assisté s’installe officiellement dans le droit français. Mais derrière cette avancée présentée comme humaniste se cache une architecture idéologique froide, structurée de longue date par la franc-maçonnerie.
L’ADMD, fondée par le franc-maçon Henri Caillavet, a injecté plus de 6 millions d’euros en quinze ans pour imposer cette vision. Sa stratégie repose sur des campagnes de communication ciblées, des relais puissants au Parlement, et un changement sémantique soigneusement calibré. Le but est clair : faire sauter les barrières morales en manipulant les mots. Le suicide devient assistance, la mort devient un droit, et la vie… une option parmi d’autres.
Avec 35 % de parlementaires affiliés à des loges, les grands équilibres démocratiques sont faussés. Ce n’est plus le peuple qui décide, mais un réseau minoritaire et idéologiquement engagé. Cette influence ne se limite pas à la fin de vie : elle s’inscrit dans un projet global où l’euthanasie, l’avortement constitutionnalisé, et la dépopulation convergent vers une même logique de désacralisation de la vie humaine. Un basculement culturel majeur, qui avance sans opposition réelle, anesthésiée par la peur d’être accusé de réaction ou d’antisémitisme.
L’extension de la loi aux mineurs ou aux migrants, défendue par certaines voix comme Sandrine Rousseau, marque une nouvelle étape dans cette dérive civilisationnelle. Loin d’une évolution bienveillante, nous assistons à l’officialisation d’une politique de tri humain, dissimulée sous un vernis de progrès.
Rien n’est laissé au hasard. Chaque mot, chaque article de loi, chaque vote est le fruit d’un agenda précis. Il ne s’agit pas d’une dérive, mais d’un plan.
Mike Borowski expose l’arrière-plan occulté de la loi sur l’« aide à mourir » et révèlent comment une minorité initiée prend le contrôle des consciences, en direct sur GPTV !
