Dans un climat politique tendu où les repères biologiques sont sans cesse remis en question, le Royaume-Uni vient de frapper fort. La Cour suprême britannique a tranché : dans la loi, une femme est une personne de sexe féminin à la naissance. Ni sentiment, ni auto-identification, ni certificat de genre ne peuvent désormais redéfinir cette réalité biologique. Cette décision marque un tournant majeur dans la bataille idéologique entre féminisme classique et militantisme transgenre.
En refusant d’intégrer les femmes transgenres dans la définition légale de la femme, même en possession d’un certificat de reconnaissance de genre, les juges britanniques remettent les pendules à l’heure. L’égalité des sexes ne peut s’appuyer que sur des fondations stables : le sexe biologique. Une affirmation juridique forte, qui va bien au-delà du Royaume-Uni. Ce verdict fait exploser les dogmes importés des États-Unis, largement relayés en Europe par les ONG, les institutions culturelles et les milieux médiatiques progressistes.
Cette clarification de la loi sur l’égalité vient appuyer un féminisme rationnel, soucieux de défendre les droits des femmes réelles. Finies les ambiguïtés juridiques qui permettaient à des hommes biologiques de s’infiltrer dans les compétitions sportives féminines, les refuges pour femmes battues ou les quotas de parité dans les conseils d’administration. Le droit retrouve une boussole claire, fondée sur la biologie, et non sur l’idéologie.
Alors que la France persiste à promouvoir une vision floue du genre à travers l’éducation, les médias et les politiques publiques, le Royaume-Uni trace une nouvelle voie. L’Europe pourrait bien suivre. Ce n’est plus seulement une question juridique, mais une question de civilisation.
Ce que la Cour suprême britannique vient d’imposer en droit, la France n’ose même plus l’évoquer à voix haute… Écoutez ce que pense Nicolas Stoquer en direct sur GPTV, vous ne verrez plus jamais les JO ou l’Eurovision de la même façon.