Bernard-Henri Lévy, alias BHL, bénéficie depuis des décennies d’un accès privilégié aux financements publics pour produire ses films et documentaires. Entre 2011 et 2022, Arte, la chaîne franco-allemande qu’il a présidée au conseil de surveillance, lui a accordé 750 000 euros d’argent public pour financer ses œuvres. Mais ce n’est que la partie visible d’un réseau d’influence verrouillé où l’argent du contribuable finance une idéologie mondialiste à travers le cinéma et la culture.
Avec sa société de production Les Films du Lendemain, BHL a fait financer douze films par Arte, consolidant un système opaque où les subventions, les festivals et les espaces médiatiques sont accaparés par une élite. Ce contrôle absolu du paysage audiovisuel permet d’imposer une pensée unique et d’écarter toute production indépendante remettant en cause la doxa dominante.
BHL n’est pas qu’un simple cinéaste. Il instrumentalise le cinéma pour justifier les guerres de l’OTAN sous couvert de défense de la démocratie. En 2011, son film sur la Libye a servi de support à l’intervention occidentale qui a détruit le pays et plongé la région dans le chaos. Aujourd’hui, son documentaire sur l’Ukraine pousse à une escalade militaire totale, en diabolisant la Russie et en balayant toute alternative diplomatique.
Ces productions ne sont pas de l’information, mais de la manipulation. Elles façonnent l’opinion publique pour légitimer l’ingérence occidentale et préparer le terrain aux interventions militaires. Derrière ces films, c’est une guerre cognitive qui se joue, où les récits sont modifiés, simplifiés et orientés pour servir les intérêts mondialistes.
Arte ne se contente pas de financer les films bellicistes de BHL. La chaîne est devenue un relais culturel du progressisme mondialiste, diffusant en continu des contenus militants sur le transgenrisme, le multiculturalisme forcé et le Great Reset. Sous couvert de créativité artistique, elle impose une déconstruction des repères traditionnels et prépare les sociétés aux transformations imposées par les élites supranationales.
Ce biais idéologique est omniprésent. Tous les sujets sensibles sont traités sous un angle militant, verrouillant tout débat contradictoire. Ce n’est plus de l’information, mais un outil d’ingénierie sociale utilisé pour formater les esprits et imposer une nouvelle norme culturelle dictée par l’oligarchie.
Les masques tombent. Ce réseau d’influence ne cherche ni à informer ni à promouvoir la culture, mais bien à orienter l’opinion et à façonner un monde conforme aux intérêts mondialistes.
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